On ne pourra pas me reprocher de transformer le mal du siècle en ennui personnel puisque, dans chacun de mes livres, je fais l'inverse.
dimanche 25 juillet 2010
Le n'importe quoi et le rien du tout
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supériorité de l'ennui
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Ne vous inquiétez pas, des reproches on vous en trouveras toujours (faut dire aussi que vous les cherchez un peu, non ?)
RépondreSupprimerTiens, d'être cité sur Causeur par exemple, sûr que ça ne va pas plaire à tout le monde :
http://www.causeur.fr/petite-philosophie-du-surf,6951
Glargl... Un "s" plus que malencontreux !
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