Nous avons accepté bien volontiers l'invitation de la librairie Le Thé des écrivains afin de satisfaire, par notre présence, la curiosité d'une foule de Parisiens, et même de Français venus de provinces lointaines, désireuse de voir et d'entendre un nihiliste balnéaire évoquer le charme des penseurs tristes. À cette occasion, nous avons eu le plaisir de faire la connaissance d'une blogueuse-amie de qualité (clic). Bien sûr, le Diable était là. Nous n'avons pas manqué de signer un pacte avec lui — comme en témoignent les images de ce moment volées par l'Infâme.
jeudi 29 août 2013
Le Diable était là
Nous avons accepté bien volontiers l'invitation de la librairie Le Thé des écrivains afin de satisfaire, par notre présence, la curiosité d'une foule de Parisiens, et même de Français venus de provinces lointaines, désireuse de voir et d'entendre un nihiliste balnéaire évoquer le charme des penseurs tristes. À cette occasion, nous avons eu le plaisir de faire la connaissance d'une blogueuse-amie de qualité (clic). Bien sûr, le Diable était là. Nous n'avons pas manqué de signer un pacte avec lui — comme en témoignent les images de ce moment volées par l'Infâme.
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Cher professeur,
RépondreSupprimerJe regrette de n'avoir pu venir vous saluer lors de cette petite sauterie.
Qui plus est, j'ai osé entamer une lecture simultanée de votre dernier né et d'un des opuscules du Diable. Me pardonnerez-vous cette infamie ?
(en guise d'excuse, lors d'une flânerie à Chambéry je suis allé saluer pour vous la statue d'un autre mécontent, le sieur Joseph de Maistre)
Connaissez-vous, cher Loïc, l'essai que Cioran a consacré à Joseph de Maistre? Un pur régal.
SupprimerJ'ai connaissance de ce texte de Cioran. J'ai toujours l'espoir de mettre la main dessus lorsque j'écume les bouquinistes.
SupprimerJe me souviens surtout d'avoir lu quelques citations délicieuses de Joseph de Maistre sous la plume de notre néo-mexicain préféré, citations qui m'avaient donné envie d'aller puiser dans ses textes sur lesquels on avait pourtant apposé le sceau des pestiférés.
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerNe pouvant malheureusement venir à cette causerie pour cause de reprise de collier, je fus ravi que mon ambassadrice de charme puisse s’y rendre – avec le sourire que vous savez…
Dès son retour j’ai eu ainsi la chance de goûter à quelques extraits filmés des plus savoureux et passionnants, en particulier sur Caraco, La Rochefoucauld et quelques autres encore à découvrir dans votre essai.
Bien amicalement
Axel
Cher Axel,
SupprimerOn reconnaît un honnête homme achevé à son talent de se faire représenter par une ambassadrice de charme.
Bien à vous,
Frédéric
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerLa soirée fut délicieuse, quelques heures de détente et de charme tout simplement. Encore merci de votre présence à Paris et de ce magnifique essai.
Au plaisir de vous revoir,
Benjamin
Ah! Benjamin! C'est moi qui vous remercie de votre attention — dans les deux sens du terme. N'hésitez pas à revenir ici.
SupprimerTrès amicalement,
F.
En toute amitié, cher Frédéric,
RépondreSupprimerVoici les premières vidéos du Chêne parlant, d’autres suivront vraisemblablement la semaine prochaine – si Temps le veut.
Un montage, qui j’espère est à la hauteur de votre accueil ainsi que de celui de votre merveilleuse Schiffterina.
En tout émotion, très amicalement, Virginie.
Le charme des penseurs tristes – clic
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RépondreSupprimerEtonnant ! Je n'imaginais pas ainsi le Maître de Marguerite...
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