Hier, un coursier en provenance de Paris nous a apporté quelques exemplaires de notre prochain ouvrage, La Beauté, Une éducation esthétique, publié par les soins de la maison d'édition Autrement. Hélas!, avons-nous pensé, comme sa sortie en librairie n'est prévue que le 12 septembre, nul livre, cet été, ne fera la joie de nos enthousiastes lectrices! Bah!, nous sommes-nous dit aussitôt, elles n'auront qu'à glisser tel ou tel de nos précédents chefs-d'œuvre dans leur sac de plage et en reprendre de merveilleux passages entre deux baignades.
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Le 12
RépondreSupprimerDu mois de bluzze
2012.
A l’heure où les Maya renoncent à leur calendrier.
Quelle belle date !
La beauté, entre spleen et idéal…
Et qu’à la faveur d’une méditation entre deux chapitres de Philosophie sentimentale elles accueillent nos beaux cerfs-volants sur leur plus belle piste d’atterrissage…
RépondreSupprimerCe sera un moyen d’attendre La Beauté de la rentrée…
Entendu dire par une jolie fille à une terrasse d'un café parisien : "Mon intelligence à moi, c'est la beauté".
RépondreSupprimerUne bonne nouvelle, une!
RépondreSupprimerDepuis que Sarkozy a été battu ça n'arrête pas: les filles sont plus jolies, le vin est meilleur et Frédéric Schiffter sort un livre.
Félicitations ! Schiffter ! Nous vous souhaitons autant de lecteurs que d’âmes venues se perdre sur ce « blogue » !
RépondreSupprimerEt, encore mieux, telles qu’on pourra les comptabiliser le 12 septembre !
Et ça, seulement pour commencer !
Et rien que des filles nihilistes, balnéaires et sexy qui surfent ou qui jouent au beach-volley…
R.C. V.
Pour les midinettes, les beach volleyeuses, les surfeuses - les Romy – pour toutes ces petites créatures fragiles, ces célestes insouciantes dissimulant leur vulnérable condition sous le fard, le maquillage, le bois rose d’une tendre superficialité - petite mise en bouche sans blabla ni chichi :
RépondreSupprimer« …seule la mélancolie, la « maladie du temps », incline un mortel à méditer sur sa vie et qu’il en existe deux formes. L’une lui laisse entrevoir un ailleurs à travers les trouées de la nostalgie et de l’espoir ; l’autre ne lui fait voir rien de neuf sous les nuages. Je suis passé de la première à la seconde comme on passe d’un jour gris à la nuit, quand les yeux sont peu à peu contraints à davantage de clairvoyance. J’ignore ce que le lecteur retiendra de ses pages écrites par un ego triste dont la vie spirituelle oscille de l’aboulie aux convulsions. Peut-être quelques formules qu’il saura placer dans un dîner en ville, à un moment où la conversation s’éteint – combler un vide par du vent, beau destin, en somme, pour les mots d’un auteur. » Frédéric Schiffter- Sur le blabla et le chichi des philosophes – PUF, p 104.
Nota : Espérons qu’elles n’aillent pas direct se jeter sous les roues d’un train...
Bien à vous, cher Frédéric, une Nano-feuille à la poursuite du vent.
Après l'éducation sentimentale, l'éducation esthétique ? Vivement l'automne. J'y suis et j'en serai. la belle saison où tout se meurt pour, au mieux renaître à l'identique, au pire disparaître, avec ou sans nous.
RépondreSupprimerHélas, il va falloir passer un été sans (La) Beauté. Heureusement, il nous reste le barbecue et le rosé.
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