J., ma jeune voisine, est une fervente catholique et une admiratrice de Benoît XVI. L’été dernier, elle alla à Madrid à l’occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse en compagnie de sa petite cousine — dont on lui avait confié la responsabilité. Ne manquant jamais de m’écrire quand elle part en voyage, J. m’adressa au bout de deux jours un courriel qui donne une idée assez précise du genre de réunions qui se déroulent, la nuit, derrière les murs des collèges religieux destinés à accueillir les âmes juvéniles brûlant d’une foi ardente en Jésus Christ et d’un amour sincère pour le pape.
En voici un extrait :
« […] Alberto, l’aumônier, qui venait de foutre mon con, s'arrangea dans mon cul ; il a le vit un peu plus gros que son amant, monseigneur l’évêque de Madrid, mais, toute novice que je suis, Dieu sans doute m'a si bien créée pour ces plaisirs, que je ne souffris point de la différence. J'étais couchée à plat ventre sur sœur Ewa, la mère supérieure, une hommasse moustachue, de manière à ce que mon clitoris posât sur sa bouche, et la friponne, mollement étendue sur des carreaux, le suçait en écartant les cuisses. Entre ses jambes, courbée, ma cousine — vous savez, cher Frédéric, la petite Monica, la cheftaine de louveteaux — lui rendait ce qu'elle me faisait, et le plaisir que la coquine recevait, elle le faisait voluptueusement refluer sur Thomas et Constance, des amis rencontrés plaza de las Cibeles le soir même, qu'elle masturbait de droite et de gauche. Marc, mon copain, et bientôt mon fiancé, derrière ma cousine, se branlait légèrement sur ses fesses, mais sans y pénétrer: l'honneur de l'un et l'autre pucelage de cette petite fille ne regardait absolument que moi. Je tenais un cierge à sa disposition. […]»
Que l’on me croie ou non, ce beau témoignage de J. a ému le cœur du mécréant que je suis.