lundi 28 novembre 2011

No se puede vivir sin amar — 10

3 commentaires:

  1. « C'est avec de bons sous-sols bien morts qu'on fera de beaux charniers ».

    Stanko a dit…
    - Pareil

    Alfonso a dit…
    - Pareil

    Le Marquis de l'Orée a dit…
    - Pareil. Puis ajoute : Cela prendra un certain temps, mais la patience de la croûte est bien connue.

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  2. Le chemisier de Vitamine est inaccessible aux deux fêtards. Je répète: "Le chemisier de Vitamine est inaccessible". La logique du miel ne fait pas partie du réel. Over.

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  3. Terrible. Comme je n'ai pas vu le film (ni lu le livre), j'imagine José Garcia rentrer chez lui, et, pour se consoler, après avoir suivi le conseil de son ami, écouter en boucle "et tu danses avec lui", de C. Jérôme. Une décennie plus tard, si l'humour lui permet enfin de se détacher du glauque houellebecquien, il regardera, amusé, le film d'Alain Soral, "confession d'un dragueur", et se dira, en pensant exactement le contraire, qu'il aura au moins échappé au style de Tagmaoui. Ira-t-il plus loin en adhérant à ses thèses, ou plutôt à la virilité surjouée de leur auteur (pas mal dans la version révolutionnaire du "héroïco-vantard")? A priori non, mais sait-on jamais? Il y a une fatalité du mauvais goût, et son costume cravate de commercial laisse craindre le pire. Un bon point pour lui, néanmoins: on l'imagine mal se procurer l'oeuvre complète de Michel Onfray.

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