Quand je vois la gueule des senoritos, je me demande comment les gens, en général, acceptent d'être photographiés. Il est vrai qu'avec Cespedes, Arditi et Meyrieu, il y a des tartes à la crème qui se perdent.
Juste une suggestion: pourquoi ne pas accueillir les espadrilles dans votre panoplie du senorito? Cela ferait un total look (improbable certes) avec la capuche et le pantacourt.
J'ai vu un interview de Cespedes parler de son dernier livre qui pretend expliquer les hommes aux femmes...Ce type est completement delirant ! Tous ces flics de la pensée et leur mauvaise confiture de bons sentiments et autres niaiseries sont une invention de la classe moyenne. Quand celle ci daigne accorder la seule heure oisive (car trop "surbookée" ! ) du mois à la lecture, c'est pour se jeter sur ces bouffoneries...
La doudoune, cher Chuck, est une forme de señoritisme vestimentaire.
Quant à l'espadrille, mon cher Tristan, je ne puis en dire du mal sachant que Paul-Jean Toulet (Too Late) en était chaussé. Au reste, sans cette caution littéraire, je tiens quant à moi l'espadrille pour une chaussure de plage élégante — qui surclasse sans réfutation possible la tongue et le sabot en plastique — à condition qu'elle reste fixée au talon. L'été, j'en arbore une paire blanche du meilleur effet, assortie à mon chorte de surf Birdwell, blanc itou. Mais j'arrête là ma défense de l'espadrille, conscient que ce point d'idéologie cordonnière nous sépare, comme nous sépare le cas Houellebecq — lequel, soyez-en sûr, ne porte pas d'espadrilles.
Je me doutais que j'étais peut-être en train de commettre une gaffe - comme ce fut autrefois le cas à propos de certains mocassins, si ma mémoire est bonne.
Me rachèterai-je en disant que je n'avais pas remarqué ce détail, et qu'en conséquence vous deviez être particulièrement élégant? Hélas, je crois plutôt que nous ne nous sommes pas rencontrés sur la plage. Et puis elles étaient blanches, donc ça va, vous échapperez au goulag. :-)
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le reflux
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Exercices de lucidité
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
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L'ennui est ma passion.
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Contre les marchands de sagesse
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Très belle sélection Fréderic. Mais que fait l'homme de dos avec sa doudoune à capuche sur cette belle brochette ?
RépondreSupprimerQuand je vois la gueule des senoritos, je me demande comment les gens, en général, acceptent d'être photographiés. Il est vrai qu'avec Cespedes, Arditi et Meyrieu, il y a des tartes à la crème qui se perdent.
RépondreSupprimerJuste une suggestion: pourquoi ne pas accueillir les espadrilles dans votre panoplie du senorito? Cela ferait un total look (improbable certes) avec la capuche et le pantacourt.
Tristan
J'ai vu un interview de Cespedes parler de son dernier livre qui pretend expliquer les hommes aux femmes...Ce type est completement delirant ! Tous ces flics de la pensée et leur mauvaise confiture de bons sentiments et autres niaiseries sont une invention de la classe moyenne. Quand celle ci daigne accorder la seule heure oisive (car trop "surbookée" ! ) du mois à la lecture, c'est pour se jeter sur ces bouffoneries...
RépondreSupprimerLa doudoune, cher Chuck, est une forme de señoritisme vestimentaire.
RépondreSupprimerQuant à l'espadrille, mon cher Tristan, je ne puis en dire du mal sachant que Paul-Jean Toulet (Too Late) en était chaussé. Au reste, sans cette caution littéraire, je tiens quant à moi l'espadrille pour une chaussure de plage élégante — qui surclasse sans réfutation possible la tongue et le sabot en plastique — à condition qu'elle reste fixée au talon. L'été, j'en arbore une paire blanche du meilleur effet, assortie à mon chorte de surf Birdwell, blanc itou. Mais j'arrête là ma défense de l'espadrille, conscient que ce point d'idéologie cordonnière nous sépare, comme nous sépare le cas Houellebecq — lequel, soyez-en sûr, ne porte pas d'espadrilles.
:-D
RépondreSupprimerJe me doutais que j'étais peut-être en train de commettre une gaffe - comme ce fut autrefois le cas à propos de certains mocassins, si ma mémoire est bonne.
Me rachèterai-je en disant que je n'avais pas remarqué ce détail, et qu'en conséquence vous deviez être particulièrement élégant? Hélas, je crois plutôt que nous ne nous sommes pas rencontrés sur la plage.
Et puis elles étaient blanches, donc ça va, vous échapperez au goulag. :-)
Tristan
Mon cher Frédéric,
RépondreSupprimerJe note au passage que vous aimez particulièrement votre chorte de surf, puisqu'il échappe à la règle qui voudrait qu'il s'appelât Beurdouelle.
Tristan