Suite de l'interviou avec l'accorte Camille Tassel.
On remarquera le style debordien du montage, période lettriste. L'écran reste noir quelques secondes. Ainsi la passivité contemplative du spectateur est-elle bousculée durant une courte unité de temps.
On notera surtout le souci de réalisme sonore du personnel de la brasserie qui a tenu à bruiter les propos sur l'amour du philosophe sans qualités en brisant de la vaisselle.
vous publiez l'interviou en plusieurs parties pour faire plus d'audimat ? ^^
RépondreSupprimerOn remarque surtout l'éclairage aléatoire et irisé, effets de lumière sur l'apologie de l'éphémérité !
RépondreSupprimerOn a préféré les leds aux bougies. Esprit résolument contemporain.
RépondreSupprimerqu'importe le lieu ou le bruit.. j'aime beaucoup ce que vous dites, j'ai beaucoup aimé votre livre "philosophie sentimentale", qui fait étrangement écho en moi et met des mots là où la parole parfois bute, s'embrouille, se tait! merci à vous
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