Une dépêche de ce jour signale que l'organisation E.T.A. a déclaré un cessez-le-feu — ce qui signifie, non pas que cette bande de têtes de mort racistes et totalitaires, qui ne vaincra ni ne convaincra jamais, a enfin compris que les Basques se foutaient de la cause basque, mais qu'elle est "militairement" défaite. Quantité de personnes sur qui pesait une menace d'assassinat — une fatwa patriotique — vont pouvoir souffler, notamment le philosophe Fernando Savater. Vive le Pays basque libéré de l'E.T.A.!
Méfions-nous cher ami, des annonces de trèves de ces pauvres humanoïdes masqués. Par le passé, ils ont prouvé qu'ils savaient aussi bien tuer que mentir. Mais si cela se vérifie, les pauvres diables masqués devront se soigner, et peut-être un jour comprendre que le nationalisme, cette maladie d'alzheimer qui s'attrape tout petit, est non seulement une déchéance de la pensée mais aussi du corps, un corps nationaliste est par essence un corps mort. Leur serpent se mord enfin la queue !
Savater est menacé depuis, je crois, l'année 2000. Pourquoi ? Pour s'être insurgé dans la presse contre le saccage systématique perpétré par des jeunes nationalistes basques de librairies de San Sebastian — dont le crime était d'exposer dans leurs vitrines, et de vendre, des livres écrits en langue espagnole. Il rappelait que ceux qui s'en prenaient aux livres, finissaient par s'en prendre à leurs auteurs, bref, que c'était là des manières de néo-nazillons. E.T.A., comme pour lui donner raison, c'est dire l'intelligence de ces gens, l'a aussitôt condamné à mort pour hostilité envers la culture et la langue basques.
Bonjour monsieur. Je suis Breton, amoureux des terres de "mon pays", mais surtout j'ai eu la chance de goûter très tôt à la Bretagne des côtes, là où il n'y a pas de propriétés privées, entre le sable et le début de la mer,( quoi que...), là où on rêve d'aventures, de rencontre, là où on parlait les langues du monde en plus du breton. Bref, tout ça pour dire que je partage votre parole. Et votre vision peut être héritée de votre arbre généalogique tsigane? Pour autant, il y a des bretons, et des basques (j'en suis!), conscients qu'ils ne sont guère plus qu'un tas d'excréments et de chair et de cellules comme tout les humains de la terre, mais qui ont le sentiment quand même que leur vision héritée des anciens, a une saveur particulière qui s'accommoderai très bien avec celle des autres. Or cette saveur, on a quand même et on veut encore la broyer, la faisant passer comme le dit Victor Hugo ; pour une odeur de singe...
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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L'ennui est ma passion.
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Méfions-nous cher ami, des annonces de trèves de ces pauvres humanoïdes masqués. Par le passé, ils ont prouvé qu'ils savaient aussi bien tuer que mentir.
RépondreSupprimerMais si cela se vérifie, les pauvres diables masqués devront se soigner, et peut-être un jour comprendre que le nationalisme, cette maladie d'alzheimer qui s'attrape tout petit, est non seulement une déchéance de la pensée mais aussi du corps, un corps nationaliste est par essence un corps mort.
Leur serpent se mord enfin la queue !
Bien à vous.
Philippe Chauché
Je ne savais pas que Savater était menacé. Ils lui reprochent quoi, au juste ?
RépondreSupprimerSavater est menacé depuis, je crois, l'année 2000. Pourquoi ? Pour s'être insurgé dans la presse contre le saccage systématique perpétré par des jeunes nationalistes basques de librairies de San Sebastian — dont le crime était d'exposer dans leurs vitrines, et de vendre, des livres écrits en langue espagnole. Il rappelait que ceux qui s'en prenaient aux livres, finissaient par s'en prendre à leurs auteurs, bref, que c'était là des manières de néo-nazillons. E.T.A., comme pour lui donner raison, c'est dire l'intelligence de ces gens, l'a aussitôt condamné à mort pour hostilité envers la culture et la langue basques.
RépondreSupprimerBonjour monsieur.
RépondreSupprimerJe suis Breton, amoureux des terres de "mon pays", mais surtout j'ai eu la chance de goûter très tôt à la Bretagne des côtes, là où il n'y a pas de propriétés privées, entre le sable et le début de la mer,( quoi que...), là où on rêve d'aventures, de rencontre, là où on parlait les langues du monde en plus du breton. Bref, tout ça pour dire que je partage votre parole. Et votre vision peut être héritée de votre arbre généalogique tsigane?
Pour autant, il y a des bretons, et des basques (j'en suis!), conscients qu'ils ne sont guère plus qu'un tas d'excréments et de chair et de cellules comme tout les humains de la terre, mais qui ont le sentiment quand même que leur vision héritée des anciens, a une saveur particulière qui s'accommoderai très bien avec celle des autres.
Or cette saveur, on a quand même et on veut encore la broyer, la faisant passer comme le dit Victor Hugo ; pour une odeur de singe...
Bien à vous.
Et amitié aux vagues de chez vous.