samedi 26 septembre 2015

Pas un jour sans Louis Watt-Owen


Chers habitués, je vous invite séance tenante à lire ce texte de Louis Watt-Owen sur Bukowski (clic).Puissiez-vous ainsi découvrir sa page, La main de singe, et vous y reporter dès que vous désirerez lire une prose en tout point intelligente et percutante.




7 commentaires:

  1. Cher Frédéric,
    merci de m'avoir fait découvrir ce site ,la main de singe...
    c'est une mine d'intelligence et de sensibilité
    bien à vous,

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  2. Très beau texte de Louis Watt-Owen pour Bukowski. Très beau texte d’un ami pour son ami. On ne peut qu’aimer.

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  3. Un texte parfait, qui dit ce qu.il faut dire. Parfait. Pas mieux.
    Merci LWO, merci à vous'

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  4. Il y a aussi en poche (trouées) Les pentes fabuleuses
    de Dominique Poncet.

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  5. Effectivement, le texte de LWO résume bien la chose : en cas de gros temps, le vieux Buk sera toujours là.

    Et ça, ce n'est pas rien en notre triste époque.

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  6. « Mon père était un bon professeur de littérature. Il m'a appris la signification de la souffrance. Souffrir sans raison. » Quand on sait que Bukowski a été régulièrement battu par son père jusqu’à sa seizième année, on s’incline et on se dit que ce Monsieur avait de la classe, bien au-delà des apparences souvent trompeuses….
    Quant à Pivot et Cavanna, ils n’ont pas su faire preuve de bienveillance et d’intelligence ce jour-là, aucune classe !

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  7. «...presque en loques, au bord de la rupture, il s'appuyait contre la mort.»
    Merci Buk, L.W.O.
    Et à vous.

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