Chers habitués, je vous invite séance tenante à lire ce
texte de Louis Watt-Owen sur Bukowski (clic).Puissiez-vous ainsi découvrir sa page, La main de singe, et vous y reporter dès
que vous désirerez lire une prose en tout point intelligente et percutante.
Cher Frédéric,
RépondreSupprimermerci de m'avoir fait découvrir ce site ,la main de singe...
c'est une mine d'intelligence et de sensibilité
bien à vous,
Très beau texte de Louis Watt-Owen pour Bukowski. Très beau texte d’un ami pour son ami. On ne peut qu’aimer.
RépondreSupprimerUn texte parfait, qui dit ce qu.il faut dire. Parfait. Pas mieux.
RépondreSupprimerMerci LWO, merci à vous'
Il y a aussi en poche (trouées) Les pentes fabuleuses
RépondreSupprimerde Dominique Poncet.
Effectivement, le texte de LWO résume bien la chose : en cas de gros temps, le vieux Buk sera toujours là.
RépondreSupprimerEt ça, ce n'est pas rien en notre triste époque.
« Mon père était un bon professeur de littérature. Il m'a appris la signification de la souffrance. Souffrir sans raison. » Quand on sait que Bukowski a été régulièrement battu par son père jusqu’à sa seizième année, on s’incline et on se dit que ce Monsieur avait de la classe, bien au-delà des apparences souvent trompeuses….
RépondreSupprimerQuant à Pivot et Cavanna, ils n’ont pas su faire preuve de bienveillance et d’intelligence ce jour-là, aucune classe !
«...presque en loques, au bord de la rupture, il s'appuyait contre la mort.»
RépondreSupprimerMerci Buk, L.W.O.
Et à vous.