Le mardi 19 novembre, à 19h30, à l'invitation du Café philosophique de Biarritz, je serai au bar et fronton Plaza Berri (42, avenue du Maréchal Foch) pour commenter Le Voluptueux inquiet (Éditions Louise Bottu) et en débattre avec l'assistance.
Présentation:
Dans sa Lettre à Ménécée, Épicure affirme que si on observe les principes de son éthique — ne pas craindre les dieux ni la mort, ne satisfaire que ses besoins naturels et nécessaires, adopter une conduite prudente dans un monde hasardeux — l’ataraxie, ou la sérénité, ou le bonheur, est accessible. Dans sa réponse à Épicure, Ménécée s’interroge sur la réelle efficacité de cette «médecine de l’âme». La sagesse ne serait-elle pas l’asile de l’illusion?
Le Voluptueux inquiet, réponse à Épicure, est en vente au BOOKSTORE et à la Maison de La Presse de Biarritz. L’auteur (Frédéric Schiffter-Ménécée) aura le plaisir de dédicacer l’ouvrage à l’issue de cette rencontre.
À propos, pourquoi dans votre bouquin cette inversion chronologique où vous faites précéder la réponse de Ménécée, la lettre d'Epicure venant ensuite?
RépondreSupprimerJ'ai imaginé que vous souhaitiez laisser le dernier mot au maître ou que la lettre d'Epicure était placée en fin de bouquin comme une note pour les incultes qui n'avaient jamais lu la lettre à Ménécée (J'ai lu votre livre dans le désordre) ou encore une inversion des lettres ,Epicure répondant à Ménécée,le pari de Pascal et si les dieux étaient à craindre? La dernière hypothèse est improbable.
Moi à vous, Salut
Cher Lucm Rezé,
SupprimerLa Lettre à Ménécée étant un standard, elle avait sa place en annexe. Quant à Ménécée, il a raison de dire que les dieux sont moins à craindre que les hommes qui prétendent croire en eux. Les premiers n'existent pas, les seconds oui.
Salut à vous,
FS
Bien sûr, les dieux n'existent pas, sauf dans la tête de beaucoup d'hommes. Cette existence virtuelle est déjà une bien trop grande existence.
RépondreSupprimerC'est ce que dit Ménécée.
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