Un film très drôle pendant...30 minutes. La dernière heure peut concourir au prix du " plus grand nanar de l'histoire". Il allait se "reprendre", très rapidement, en alignant "Préparez vos mouchoirs", "Buffet froid" et "Beau-père". Rien que ça.
le film de Blier reste à ce jour le manifeste cinématographique le plus important concernant la guerre des sexes. J'en veux pour preuve la façon dont Marielle n'arrive plus à finir sa tartine devant l'antre de cette dame. Comme l'écrivait ce cher Guitry : "Les hommes et les femmes sont fait pour être heureux, mais pas ensemble". Ceci étant dit, les droits sociaux des femmes sont loin d'être réglés...( c'est le cas de le dire)
Concernant le fait de lire, je vous recommande , si vous ne l'avez déjà lu, le livre d'Enrique Vila-matas, intitulé "Bartelby et compagnie". Vous devriez adorer....
Merci encore pour votre blog qui n'est pas celui d'un philosophe étriqué...je viens de finir de voir le film.D'accord avec l'anonyme, la fin c'est du grand n'importe quoi mais heureusement que de tels cinéastes existent,surtout dans le monde d'aujourd'hui où tout sonne faux,le marché a gagné..lire ou relire "Vivre et penser comme des porcs" de Gilles Châtelet.Lui ,il n'a pas hésité de suivre la voix sans issue... bien à vous, Michel
Cher Frédéric, je suis désolé,surtout sur votre blog où la qualité est toujours présente,de mon orthographe .J'écris souvent trop vite,sans me relire .Il n'a pas hésité à suivre la voie sans issue... bien à vous, Michel
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
Pas de publicité s.v.p.
Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
Le reflux
Pas de publicité, s.v.p.
Exercices de lucidité
Pas de publicité, s.v.p.
Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
Pas de publicité, s.v.p.
L'ennui est ma passion.
Pas de publicité, s.v.p.
Contre les marchands de sagesse
Pas de publicité, s.v.p.
Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
Pas de publicité, s.v.p.
J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Cher Frédéric, ce sentimentalisme vous perdra…
RépondreSupprimerVous me trouvez pas qu'elles auraient tendance à nous faire chier...toutes ?!
RépondreSupprimerBiarrotte
Là, j'avoue qu'il y a une certaine grâce dans la misogynie.
RépondreSupprimerNostalgie de cette époque où l'on était contre les femmes, tout contre...
Merci pour ce salubre rappel, cher Frédéric.
Un film très drôle pendant...30 minutes. La dernière heure peut concourir au prix du " plus grand nanar de l'histoire".
RépondreSupprimerIl allait se "reprendre", très rapidement, en alignant "Préparez vos mouchoirs", "Buffet froid" et "Beau-père". Rien que ça.
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerle film de Blier reste à ce jour le manifeste cinématographique le plus important concernant la guerre des sexes. J'en veux pour preuve la façon dont Marielle n'arrive plus à finir sa tartine devant l'antre de cette dame. Comme l'écrivait ce cher Guitry : "Les hommes et les femmes sont fait pour être heureux, mais pas ensemble".
Ceci étant dit, les droits sociaux des femmes sont loin d'être réglés...( c'est le cas de le dire)
Concernant le fait de lire, je vous recommande , si vous ne l'avez déjà lu, le livre d'Enrique Vila-matas, intitulé "Bartelby et compagnie". Vous devriez adorer....
Bien à vous. Eric
Merci encore pour votre blog qui n'est pas celui d'un philosophe étriqué...je viens de finir de voir le film.D'accord avec l'anonyme, la fin c'est du grand n'importe quoi mais heureusement que de tels cinéastes existent,surtout dans le monde d'aujourd'hui où tout sonne faux,le marché a gagné..lire ou relire "Vivre et penser comme des porcs" de Gilles Châtelet.Lui ,il n'a pas hésité de suivre la voix sans issue...
RépondreSupprimerbien à vous,
Michel
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerje suis désolé,surtout sur votre blog où la qualité est toujours présente,de mon orthographe .J'écris souvent trop vite,sans me relire .Il n'a pas hésité à suivre la voie sans issue...
bien à vous,
Michel