Savez vous cher ami que ce Chanfray s'est suicidé et se faisait passer pour le mythique comte de Saint-Germain. Il a d'ailleurs séduit, au sens premier du terme, une Dalida devenue sa chose.
J'ai du mal à comprendre ce que Dalida pouvait trouver à ce Chanfray. Il ne chante pas bien et n'a ni l'humour, ni l'humilité, ni la sensualité native de Julio. Comparez avec l'ineffable "Il faut toujours un perdant".
Je voulais enfin vous dire ceci : la phrase exacte dans le livre de Lowry est "No se puede vivir sin amar". Le verbe indique peut-être une conception plus "donneuse" de la chose que le nom commun. On peut aussi penser que cette phrase fait allusion à Freud : être normal, c'est travailler et aimer. Lowry lui ne retiendrait qu'aimer, avec ce paradoxe qu'il a certainement dû beaucoup trimer pour écrire un tel livre.
Mais peut-être ne vouliez-vous pas évoquer "Sous le Volcan".
Je voulais précisément évoquer "Au-dessous du volcan". Votre remarque me plonge dans la honte. "No se puede vivir sin amar", voilà qui frappe mieux l'esprit, en effet. Désormais, ma rubrique s'intitulera ainsi. Merci pour votre commentaire avisé.
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le reflux
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Exercices de lucidité
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
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L'ennui est ma passion.
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Contre les marchands de sagesse
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Savez vous cher ami que ce Chanfray s'est suicidé et se faisait passer pour le mythique comte de Saint-Germain. Il a d'ailleurs séduit, au sens premier du terme, une Dalida devenue sa chose.
RépondreSupprimerOui, cher Jérôme, je le sais. Les play-boys suicidaires sont les plus séduisants.
RépondreSupprimerJ'ai du mal à comprendre ce que Dalida pouvait trouver à ce Chanfray. Il ne chante pas bien et n'a ni l'humour, ni l'humilité, ni la sensualité native de Julio. Comparez avec l'ineffable "Il faut toujours un perdant".
RépondreSupprimerJe voulais enfin vous dire ceci : la phrase exacte dans le livre de Lowry est "No se puede vivir sin amar". Le verbe indique peut-être une conception plus "donneuse" de la chose que le nom commun. On peut aussi penser que cette phrase fait allusion à Freud : être normal, c'est travailler et aimer. Lowry lui ne retiendrait qu'aimer, avec ce paradoxe qu'il a certainement dû beaucoup trimer pour écrire un tel livre.
Mais peut-être ne vouliez-vous pas évoquer "Sous le Volcan".
Cdlt,
Un amateur de karaoké (au Japon seulement)
Cher Thsim,
RépondreSupprimerJe voulais précisément évoquer "Au-dessous du volcan". Votre remarque me plonge dans la honte. "No se puede vivir sin amar", voilà qui frappe mieux l'esprit, en effet. Désormais, ma rubrique s'intitulera ainsi. Merci pour votre commentaire avisé.
Cordialement,
FS