S'agissant de Séant, votre publication m'a rappellé ces mots de l'Être - JPS (non, il ne s'agit pas de John Player Special), grappillés au hasard de vagabondages webiens : "Le sexe féminin est un appel d'être, comme d'ailleurs tous les trous; en soi la femme appelle une chair étrangère qui doive la transformer en plénitude d'être par pénétration et dilution" (L'être et le néant - Gallimard 1965, p. 706)... Je ne puis "garantir" la citation, n'ayant jamais lu cet être-là; mais tout de même, sacré Jean-Paul!... Qu'en diraient nos féministes post-modernes?...
Je ne sais si la dame qui a écrit "Le refus du féminin" est une féministe anté ou post-moderne, mais elle approuve sûrement cette affimation de Sarte si elle l'a rencontrée dans la chair de l'Etre et le Néant d'entre les rondes masses charnues.
John Cowper Powys au contraire avait une horreur phobique de tous les orifices, paraît-il, je ne sais pourquoi d'ailleurs, mais ce fut une raison suffisante à mes yeux pour renoncer à la lecture des "Enchantements de Glastonbury", dont l'étrange première phrase m'avait pourtant paru aussi alléchante que fantasmagorique....
Car j'ai toujours adoré me nicher douillettement dans les cocons de verdure et tous les autres trous féminins et terriers imaginables: quelle délicieuse sensation de douce protection et d'abri caressant et discrètement citronné et musqué, n'en déplaise aux fous qui craignent les vagins dentus!!
Ô royaumes des Mères aux suaves collines paradisiaques, de l'Autre Monde celtique du pays de Galles au buissonneux Sungau alaman!!
Mais à propos des "bonnes femmes", cher Frédéric Schiffter,
comment être à la fois plus laconique, plus synthétique, plus pathétique, plus humoristique et beaucoup d'autres ...tiques encore dont je vous fais grâce même si elles ne transmettent pas une certaine maladie redoutable dans votre région privilégiée, que Jules Laforgue:
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le reflux
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Exercices de lucidité
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
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L'ennui est ma passion.
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Contre les marchands de sagesse
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
" L'amour plaît plus que le mariage, par la raison que les romans sont plus amusants que l'histoire. "
RépondreSupprimerChamfort
Bien à vous
Philippe Chauché
Cher Monsieur SCHIFFTER,
RépondreSupprimerS'agissant de Séant, votre publication m'a rappellé ces mots de l'Être - JPS (non, il ne s'agit pas de John Player Special), grappillés au hasard de vagabondages webiens : "Le sexe féminin est un appel d'être, comme d'ailleurs tous les trous; en soi la femme appelle une chair étrangère qui doive la transformer en plénitude d'être par pénétration et dilution" (L'être et le néant - Gallimard 1965, p. 706)... Je ne puis "garantir" la citation, n'ayant jamais lu cet être-là; mais tout de même, sacré Jean-Paul!... Qu'en diraient nos féministes post-modernes?...
Bien à vous - Bernard GRANDCHAMP
Je ne sais si la dame qui a écrit "Le refus du féminin" est une féministe anté ou post-moderne, mais elle approuve sûrement cette affimation de Sarte si elle l'a rencontrée dans la chair de l'Etre et le Néant d'entre les rondes masses charnues.
RépondreSupprimerJohn Cowper Powys au contraire avait une horreur phobique de tous les orifices, paraît-il, je ne sais pourquoi d'ailleurs, mais ce fut une raison suffisante à mes yeux pour renoncer à la lecture des "Enchantements de Glastonbury", dont l'étrange première phrase m'avait pourtant paru aussi alléchante que fantasmagorique....
Car j'ai toujours adoré me nicher douillettement dans les cocons de verdure et tous les autres trous féminins et terriers imaginables: quelle délicieuse sensation de douce protection et d'abri caressant et discrètement citronné et musqué, n'en déplaise aux fous qui craignent les vagins dentus!!
Ô royaumes des Mères aux suaves collines paradisiaques, de l'Autre Monde celtique du pays de Galles au buissonneux Sungau alaman!!
Bien à vous.
Mais à propos des "bonnes femmes", cher Frédéric Schiffter,
RépondreSupprimercomment être à la fois plus laconique, plus synthétique, plus pathétique, plus humoristique et beaucoup d'autres ...tiques encore dont je vous fais grâce même si elles ne transmettent pas une certaine maladie redoutable dans votre région privilégiée, que Jules Laforgue:
"La Femme?
J'en sors,
La mort
Dans l'âme!"
Bien à vous.