Ananthrope :
Terme que j’ai inventé pour moi. Formé à partir du grec anthropos, qui désigne l’homme et an — préfixe qui exprime une négation.
De même qu’il ne croit pas en Dieu, l’ananthrope, est un homme qui ne croit pas
en l’homme — au contraire de bon nombre d’athées.
Cher Schiffter,
RépondreSupprimerQu'aviez-vous pensé du "Dictionnaire chic du cinéma" par Neuhoff?
Le but de cette collection est-il de contrer les "dictionnaires amoureux".
Le converti.
Les dictionnaires de cette collection chez ÉCRITURE sont plutôt détestables pour beaucoup.
SupprimerOn pourrait croire en la femme ( pas les bonnes femmes qui ne sont ni des femmes, ni des hommes) et bien davantage en la jeune femme , de préférence sur une plage.., quel serait le terme.?
RépondreSupprimerNous attendons avec impatience votre dictionnaire , entre ..deux planches de surf.
Stéphane.
P.S : Que pensez vous du qailletesurf.? , merci d'avance.
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerJe note précieusement la date.
Ce dictionnaire comblera l’hiver de mon cœur ; la philosophie est une déesse bien amère…
Bien amicalement
Axel
Photo, accroche...Quel teasing ! Une leçon de mercatique philosophique ! Pierre L.
RépondreSupprimerTout cela est fait avec les moyens du bord (de la piscine).
SupprimerAnanthrope... Un dictionnaire 'nietzschéen' ?
SupprimerHippocampus rafinesque :l'élégance est discrète.
RépondreSupprimerL'élégance est une discrétion que l'on remarque.
RépondreSupprimerUn chapeau beige, des verres fumés, un café noir, un livre paille. L'essentiel ! Félicitations pour ce nouvel ouvrage cher Frédéric.
RépondreSupprimerZanks, dear V.
RépondreSupprimerPlongé je suis dans la lecture délicieuse s'il en est de ce livre charmant et plaisant à souhait...
RépondreSupprimerMerci pour ce compliment, cher Fabien. J'en suis touché. Bien à vous.
SupprimerLongtemps réticent, vous estimant notamment trop occupé à pourfendre Onfray et à vanter Sade, vous soupçonnant aussi un peu d'une certaine froideur et de misogynie je l'avoue (notamment à cause du retour répétitif des "bonnes femmes"), je finis par reconnaître peu à peu votre talent propre: un style ciselé pour exprimer un nihilisme original, très pertinent à mon avis, comme nonchalant, distinct aussi bien des laborieuses et parfois risquées théories de Schopenhauer (c'est toujours le cas quand on veut expliquer et théoriser la totalité du réel) que des critiques acerbes de Chamfort et de l'amertume âpre de Beckett-différences d'époque non considérées;
RépondreSupprimerj'avais déjà lu et apprécié entre autres "Philosophie sentimentale" et je vais acheter au plus vite votre dernier ouvrage lequel, au vu de quelques aperçus, me met l'eau à la bouche!
"froideur..." ai-je écrit; votre "Philosophie sentimentale" (et elle l'est sans mièvrerie!) aurait pourtant dû déjà me prémunir d'un tel soupçon!
RépondreSupprimerBien à vous.
J'espère qu'en le citant j'ai bien écrit "Chamfort"?
RépondreSupprimerImpossible de la savoir avant la validation éventuelle, grr! Bon, cela m'apprendra à me relire de façon plus attentive avant d'envoyer un commentaire...
Merci pour ce dernier ouvrage! En plus, c'est pour pour moi, un beau cadeau d'anniversaire, je suis né un 24/09...
RépondreSupprimerBien à vous
Stéphane