©Photo Claude Nori
"Athènes ou Jérusalem ?" À cette question que l'on pose souvent aux philosophes comme s'ils avaient à soutenir des équipes de foutebale, j'ai répondu : "Plutôt Biarritz..." J'y ai fondé une école dont je suis l'unique membre, prônant une physique de la houle, une métaphysique du mal au cœur et une morale de l'équilibre précaire.
in Délectations moroses
Éditions Le Dilettante
Me donneriez vous des cours ? Où est cet école de la vie ?
RépondreSupprimerVous avez raison - pardon, je suis d'accord avec vous : rien ne vaut, en effet, une Chambre d'Amour, quand bien même on a le dos tourné...
RépondreSupprimer(Frédéric, je viens de parcourir votre blog. Heureuse et miraculeuse découverte ! Allez hop, j'affiche de ce pas, chez moi, un lien vers vos pages.)
Surfer, c'est dériver allègrement sur la crête des vagues -à l'âme ?-, éviter la lame de fond, rester en surface pour mieux appréhender l'air du temps. J'étais plutôt planche à voile, mais j'ai failli m'y noyer, la voile était de trop sans doute.
RépondreSupprimerse passerait-il quelque chose au pays basque ??
RépondreSupprimerMonsieur Schiffter, enseigneriez-vous par hasard la philosophie dans le boudoir ?
RépondreSupprimerIl y a sans doute une coquetterie à se vouloir un philosophe sans qualité quand on écrit, que l'on tient un blog, que l'on publie... Se dire "sans qualité" est une vanité comme une autre. (ah le déni)
RépondreSupprimerMais peu importe. J'ai aimé vous lire.