dimanche 22 juin 2025
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lundi 19 mai 2025
vendredi 9 mai 2025
Ceci n'est pas un génocide
En 1943, Raphaël Lemkin, juriste américain d’origine polonaise, crée le terme de «génocide» pour désigner «un crime commis avec l’intention de détruire, en tout ou partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux». En 1948, l’ONU adopte la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de Génocide et reprend la définition de Lemkin. Officiellement, l’ONU mentionne trois génocides au vingtième siècle. Le premier perpétré contre les Arméniens (1915-1923), le deuxième contre les Juifs d’Europe (1941-1945), le troisième contre les Tutsis rwandais (avril-juillet 1994).
Peut-on parler d’un tel crime dont l’État israélien se rend coupable dans l’enclave de Gaza depuis octobre 2023? Si les bombardements massifs et incessants causant la mort de dizaine de milliers de gens, si la destruction systématique des hôpitaux et l’élimination des équipes médicales, si l’entrave à l’acheminement de l’aide humanitaire provoquant famine et épidémies étaient intentionnels, il y aurait génocide. Or, il est patent que l’État juif NE FAIT ABSOLUMENT PAS EXPRÈS de raser Gaza, d’en massacrer les habitants et, bientôt, d’en déporter les survivants. Tout cela se produit par inadvertance. On voit très bien quelle pensée nauséabonde s’exprime chez ceux qui prétendent le contraire.
vendredi 2 mai 2025
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lundi 3 mars 2025
samedi 15 février 2025
Le bon temps...
Quand je faisais mes humanités au lycée de Biarritz, j'avais des camarades fâchés avec les études. Pareille négligence leur avait valu l'exclusion de l'établissement. Pour les mettre dans le droit chemin, leurs parents, d'honnêtes commerçants catholiques, les envoyèrent au collège Notre-Dame-de-Bétharram, non loin de Pau, tenu d'une main ferme par des ecclésiastiques. Internes, privés de sortie certaines fins de semaines, ils nous racontaient, quand venait le temps des vacances, les châtiments corporels qu'enduraient les jeunes garçons de la part des messieurs en soutane. Ils nous dirent même que d'aucuns, parmi ceux-là, furent initiés aux mystères de l'amour sodomite par ceux-ci. En entendant ces témoignages, je me disais que s'il faut administrer des corrections à des garnements sans oublier de les introduire à la pratique de certains plaisirs charnels, autant confier pareille tâche à des hommes de Dieu dont je ne puis douter qu'ils sont pénétrés de l'amour du Christ. Aujourd'hui je continue de penser qu'il est essentiel d'honorer les racines chrétiennes de la France.