Mr. Schiffter, Avez vous entendu parler de "l'affaire Sokal"? Il ya deux ans, j'ai ecris un message a Sokal, l'auteur d'un livre qui s'intitule "Impostures intellectuelles", en vous citant , mais c'est en anglais..... c'est un email d'une page ou deux...et j'aimerais bien savoir ce que vous en pensez. Tabbal
J'aime beaucoup l'ambiance dans le passage du clair au sombre, et la vibration finale dans les orbites. Amateur de Rembrandt et de sa capacité à faire vivre la lumière dans l'ombre, je trouve cet objet vraiment pertinent. Je suis moins convaincu pour sa dimension sémiologique, un peu facile. J'y vois aussi avec plaisir un "clin d'oeil" hihi, à la mosaïque. Art superbe qui pose avec évidence la question de l'unique dans le multiple, question fondamentale dans la peinture pointilliste entre autre. Donc, oui, j'aime beaucoup cette oeuvre.
C'est un avis, le mien, sincère, et je ne pense pas être démagogue.
Le tape à l'œil contemporain ne nous refuse rien, chère Francine, y compris le relouquage blingue-blingue de la mort — qui devient dès lors un objet kitsch (et cher). Un truc pour badauds faciles à bluffer, en somme, inquiets de passer à côté du génie d'un artisse.
Mince, est ce que ça voudrait dire que vous aimez Hopper plus pour la littérature de son travail que par sa peinture propre? Parce que moi, si je me contente de regarder, et c'est un foutu apprentissage, ( j'en suis loin ), et bien je vois des territoires plastiques communs et fondamentaux...
Frédéric,cette oeuvre nous invite à nous dérider, précisément par son aspect kitsch et clinquant qui l'oppose au sérieux de la mort. c'est une oeuvre sur le thème de la dérision ni plus ni moins. D'ailleurs ce crane semble se découvrir dans un miroir puisqu'il rit aux éclats(de toutes ses dents et de ses strass)et il m'a fait rire aussi il n'a pas d'autres prétentions
Rigolo, francine, vous envisagez cet objet sur le plan des idées et de la communication, du mental quoi, c'est votre droit, mais c'est aussi une cause de remontrance dans mon cours !
Ras le cul, de l'idée, place au physique, merde. Place à la cuisine. Conne mais capable de suggérer au coeur, l'âme du monde.
Après tout, ce n'est qu'une récupération dénaturée des représentations de l'art populaire, notamment mexicain -le jour de la fête des morts- dont on trouve l'origine dans la mythologie aztèque.
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
Pas de publicité s.v.p.
Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
Le reflux
Pas de publicité, s.v.p.
Exercices de lucidité
Pas de publicité, s.v.p.
Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
Pas de publicité, s.v.p.
L'ennui est ma passion.
Pas de publicité, s.v.p.
Contre les marchands de sagesse
Pas de publicité, s.v.p.
Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
Pas de publicité, s.v.p.
J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Oui mais là il y a de l'art dentaire
RépondreSupprimerVanité ! Au propre comme au figuré..
RépondreSupprimerMr. Schiffter,
RépondreSupprimerAvez vous entendu parler de "l'affaire Sokal"?
Il ya deux ans, j'ai ecris un message a Sokal, l'auteur d'un livre qui s'intitule "Impostures intellectuelles", en vous citant , mais c'est en anglais.....
c'est un email d'une page ou deux...et j'aimerais bien savoir ce que vous en pensez.
Tabbal
J'aime beaucoup l'ambiance dans le passage du clair au sombre, et la vibration finale dans les orbites.
RépondreSupprimerAmateur de Rembrandt et de sa capacité à faire vivre la lumière dans l'ombre, je trouve cet objet vraiment pertinent.
Je suis moins convaincu pour sa dimension sémiologique, un peu facile.
J'y vois aussi avec plaisir un "clin d'oeil" hihi, à la mosaïque. Art superbe qui pose avec évidence la question de l'unique dans le multiple, question fondamentale dans la peinture pointilliste entre autre.
Donc, oui, j'aime beaucoup cette oeuvre.
C'est un avis, le mien, sincère, et je ne pense pas être démagogue.
Je déteste ce genre de phrase péremptoire sans nuances qui sent le populisme et l'imbécilité.
RépondreSupprimerLa mort n'a aucune imagination et aucun sens de l'esthétique.Ce relookage devrait l'inspirer
"l'art est la somme de tout ce qui nous à été refusé,la somme des impossibles" CIORAN
Le tape à l'œil contemporain ne nous refuse rien, chère Francine, y compris le relouquage blingue-blingue de la mort — qui devient dès lors un objet kitsch (et cher). Un truc pour badauds faciles à bluffer, en somme, inquiets de passer à côté du génie d'un artisse.
RépondreSupprimerMince, est ce que ça voudrait dire que vous aimez Hopper plus pour la littérature de son travail que par sa peinture propre?
RépondreSupprimerParce que moi, si je me contente de regarder, et c'est un foutu apprentissage, ( j'en suis loin ), et bien je vois des territoires plastiques communs et fondamentaux...
Frédéric,cette oeuvre nous invite à nous dérider, précisément par son aspect kitsch
RépondreSupprimeret clinquant qui l'oppose au sérieux de la mort.
c'est une oeuvre sur le thème de la dérision ni plus ni moins.
D'ailleurs ce crane semble se découvrir dans un miroir puisqu'il rit aux éclats(de toutes ses dents et de ses strass)et il m'a fait rire aussi
il n'a pas d'autres prétentions
Rigolo, francine, vous envisagez cet objet sur le plan des idées et de la communication, du mental quoi, c'est votre droit, mais c'est aussi une cause de remontrance dans mon cours !
RépondreSupprimerRas le cul, de l'idée, place au physique, merde.
Place à la cuisine. Conne mais capable de suggérer au coeur, l'âme du monde.
"Diamonds are forever". Ce sourire est éternel... Il ne vaut donc pas si cher, mdr !
RépondreSupprimerAprès tout, ce n'est qu'une récupération dénaturée des représentations de l'art populaire, notamment mexicain -le jour de la fête des morts- dont on trouve l'origine dans la mythologie aztèque.
RépondreSupprimerPaul, la "cuisine" sans pensée est la ruine de l'art
RépondreSupprimerLa cuisine sans âme ? sortez les couteaux ! Aztèques bien entendu.
RépondreSupprimer