Patrick Mosconi porte en lui un monde d'ombres lumineuses, colorées, éclatantes. Il les transpose sur la toile. Le regard est captivé, charmé. Effrayé, aussi. Car ces formes semblent traduire des tourments, des obsessions, des ruminations. Mosconi lâche la bride à ses démons intimes et ils ont de la gueule!
Bien dit !
RépondreSupprimerBonsoir Frédéric,
RépondreSupprimerJe viens de voir sur Google qu'il a écrit un livre s'intitulant Le Chant de la mort (et dispo' en folio). Intriguant... Je vais me le procurer. Merci pour la découverte.