Impossible de trouver 'le plafond de Montaigne' qui est de tous vos livres, mon préféré. Je l'ai photocopié, mais prefererais avoir le livre dans ma poche pour le feuilleter de temps en temps comme j'aime le faire...Introuvable ! Ni dans les librairies, ni sur le net, neuf ou d'occasion...Frederic, help !
Il ne me reste qu'un exemplaire du Plafond de Montaigne. Il est vrai que c'est un bon livre. Si je devais l'emporter avec dix autres titres sur une île déserte, il serait du nombre — avec les neuf autres que j'ai écrits. Je n'aime pas me séparer de mes classiques. Je suis désolé de ne vous être d'aucun secours. Volez-le à une de mes admiratrices, vous devez bien en connaître une dans votre entourage...
Ceux qui parlent de surf et de vagues, sans comprendre ce qu'il y a de subversif dans la rame et de positif dans le refus de rester assis sous un parasol, ont dans la bouche un cadavre.
II n'y a rien d'autre à faire, mon cher Törless ; le surf est un monde en soi, et il faut y avoir vécu très longtemps pour en comprendre tous les principes.
Longtemps j'ai surfé de bonne heure. Parfois, à peine ma planche waxée, mes yeux scrutaient si longuement les séries qui rentraient que j'avais tout le temps de me dire : "Tu vas t'éclater".
" Comme si les hommes, divergeant sur tout le reste, ne s'accordaient que sur la vateur qu'ils donnent à leur planche : comme si au fond l'homme, c'était le surf ; et rien que le surf."
Les activités supérieures du surf paraissent toujours parasitaires aux yeux du sot. Le degré de civilisation d'une société se mesure au nombre de surfeurs qu'elle tolère
Il y a en effet des gens qui veulent tirer du surf des enseignements pour la vie. Pour cette sorte de gens très respectables je dois donc dire qu'à mon immense regret je ne surf pas. Si c'est dommage? Et comment!
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais seurfé. Jamais. C'est Arthur Ganate qui m'a fait seurfer. Arthur, un étudiant, un carabin lui aussi, un camarade. On se rencontre donc au V.V.F. C'était après le déjeuner. Il veut me parler. Je l'écoute. "Restons pas là ! qu'il me dit. Partons !" Je pars avec lui. Voilà. "Ce spot, qu'il commence, c'est pour les blaireaux! Allons à La Fitenia". Alors on remarque encore qu'il n'y avait personne sur la nationale, à cause des fêtes de Bayonne ; pas de voitures ni de combi WV, rien.
Lao Tseu a dit : "Il faut trouver le Surf !". Moi je l'ai trouvé. Je vais vous le montrer. Mais d'abord je vais couper votre planche. N'ayez crainte, ça ne durera qu'un instant.
Voici une petite chanson à propos de surf,de femme, de solitude, de sensations et de violence. Provocatrices de quelque réminiscence à propos des Beach Boys ou de groupes similaire surfant sur la mode des années soixante, et ce rêve californien ruisselant.
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le reflux
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Exercices de lucidité
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
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L'ennui est ma passion.
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Contre les marchands de sagesse
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
- Monsieur Vasquez, regardez un nouveau type de robot pour piscine à vague.
RépondreSupprimer- Mais non Alfonso ce n'est que qu'un surfeur qui joue à être un surfeur.
… Et dont la mauvaise foi est telle, qu'il est ce qu'il paraît! ¡ Qué asco !
RépondreSupprimerUne sculpture fluide.
RépondreSupprimer- Sauf votre respect vous jouez à quoi vous Monsieur Vasquez ?
RépondreSupprimer- Mon petit Alfonso, je joue à être le patron et d'ailleurs vous êtes viré.
A qui il faut répondre:
RépondreSupprimer"Nul ne prend de belle vague s'il n'est géomètre."
José Fernando Platon
L'anonyme démasqué
Le surf est la continuation de la planche par d'autres moyens.
RépondreSupprimerJerry Von Clauzewitz
Impossible de trouver 'le plafond de Montaigne' qui est de tous vos livres, mon préféré. Je l'ai photocopié, mais prefererais avoir le livre dans ma poche pour le feuilleter de temps en temps comme j'aime le faire...Introuvable ! Ni dans les librairies, ni sur le net, neuf ou d'occasion...Frederic, help !
RépondreSupprimerCelui qui perd sa planche a plus perdu que celui qui se perd avec sa planche.
RépondreSupprimerStuart Saint Augustin
Rien de grand dans l'histoire du surf ne s'est fait sans planche.
RépondreSupprimerStan Hegel
Très cher Karl,
RépondreSupprimerIl ne me reste qu'un exemplaire du Plafond de Montaigne. Il est vrai que c'est un bon livre. Si je devais l'emporter avec dix autres titres sur une île déserte, il serait du nombre — avec les neuf autres que j'ai écrits.
Je n'aime pas me séparer de mes classiques.
Je suis désolé de ne vous être d'aucun secours. Volez-le à une de mes admiratrices, vous devez bien en connaître une dans votre entourage...
Amitiés balnéaires,
FS
Le surf est la forme la plus exquise de l'inconfort de la planche.
RépondreSupprimerL'enfer, c'est les autres sur leur planche.
RépondreSupprimerEddy Sartre
Surfo ergo sum.
RépondreSupprimerKelly Descartes
Surfes-toi toi-même.
RépondreSupprimerLe surfeur est un requin pour le surfeur.
RépondreSupprimerTommy Hobbes (Malibu)
bien mal surfé ne profite jamais.
RépondreSupprimerCe qui est surfé n’est pas noyé.
RépondreSupprimerSacha Cioran
C'est pourquoi nous ne surfons jamais vraiment, mais espérons de surfer.
RépondreSupprimerVetea Pascal
Qui veut le surf veut la planche.
RépondreSupprimercertains n'auraient jamais eu l'idée de surfer si on ne leur avait pas parlé du surf
RépondreSupprimerCelui qui ne semble point surfer, est comme s'il n'existait point.
RépondreSupprimerle surf n'existe pas
RépondreSupprimerLe surf est le mauvais rêve de la société moderne enchaînée, qui n'exprime finalement que son désir de dormir.
RépondreSupprimerCeux qui parlent de surf et de vagues, sans comprendre ce qu'il y a de subversif dans la rame et de positif dans le refus de rester assis sous un parasol, ont dans la bouche un cadavre.
RépondreSupprimerce qu'on ne peut surfer il faut le taire
RépondreSupprimerBientôt il n'y aura plus que des surfeurs et on aura toutes les peines du monde a reconnaitre un homme.
RépondreSupprimer… Au point qu'en entrant dans n'importe quel lieu public on soit contraint de dire : "Salut les surfeurs, et tant pis si je me trompe !"
RépondreSupprimerII n'y a rien d'autre à faire, mon cher Törless ; le surf est un monde en soi, et il faut y avoir vécu très longtemps pour en comprendre tous les principes.
RépondreSupprimerLà ou d'autres proposent des œuvres, je ne prétends pas autre chose que de montrer du surf
RépondreSupprimerLongtemps j'ai surfé de bonne heure. Parfois, à peine ma planche waxée, mes yeux scrutaient si longuement les séries qui rentraient que j'avais tout le temps de me dire : "Tu vas t'éclater".
RépondreSupprimerNo se puede vivir sin surfar.
RépondreSupprimervisse, scrisse, surfo.
RépondreSupprimerLe surf met l'universalité dans les choses
RépondreSupprimerDans le conflit entre toi et le surf,seconde le surf
RépondreSupprimermy god,isn't surf reality the only reality one could ever bear ?
RépondreSupprimerJ'aurai réussi une œuvre quand mon surf servira à désigner une pathologie mentale
RépondreSupprimerBeau comme la rencontre fortuite sur une planche de surf d'une machine à coudre et d'un parapluie
RépondreSupprimerS
Qu'allait-il surfer sur cette galère ?
RépondreSupprimer" Comme si les hommes, divergeant sur tout le reste, ne s'accordaient que sur la vateur qu'ils donnent à leur planche : comme si au fond l'homme, c'était le surf ; et rien que le surf."
RépondreSupprimerLes activités supérieures du surf paraissent toujours parasitaires aux yeux du sot. Le degré de civilisation d'une société se mesure au nombre de surfeurs qu'elle tolère
RépondreSupprimerLe surf balance comme un pendule, de gauche à droite, de la douleur à l'ennui.
RépondreSupprimerIl y a en effet des gens qui veulent tirer du surf des enseignements pour la vie. Pour cette sorte de gens très respectables je dois donc dire qu'à mon immense regret je ne surf pas. Si c'est dommage? Et comment!
RépondreSupprimerLe surf, tel qu'il se pratique chez les grands, est une indécence convenue.
RépondreSupprimerÇa a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais seurfé. Jamais. C'est Arthur Ganate qui m'a fait seurfer. Arthur, un étudiant, un carabin lui aussi, un camarade. On se rencontre donc au V.V.F. C'était après le déjeuner. Il veut me parler. Je l'écoute. "Restons pas là ! qu'il me dit. Partons !" Je pars avec lui. Voilà. "Ce spot, qu'il commence, c'est pour les blaireaux! Allons à La Fitenia". Alors on remarque encore qu'il n'y avait personne sur la nationale, à cause des fêtes de Bayonne ; pas de voitures ni de combi WV, rien.
RépondreSupprimerpourquoi surfe-t-on sur l’étang plutôt que sur rien ?
RépondreSupprimerLe Surf est une Joie accompagnée de l'idée extérieure de la Planche.
RépondreSupprimerLao Tseu a dit : "Il faut trouver le Surf !". Moi je l'ai trouvé. Je vais vous le montrer. Mais d'abord je vais couper votre planche. N'ayez crainte, ça ne durera qu'un instant.
RépondreSupprimerje suis fait du meme bois dont on fait les planches de surf
RépondreSupprimerVoici une petite chanson à propos de surf,de femme, de solitude, de sensations et de violence. Provocatrices de quelque réminiscence à propos des Beach Boys ou de groupes similaire surfant sur la mode des années soixante, et ce rêve californien ruisselant.
RépondreSupprimerBien à vous.
http://vimeo.com/19670302