"Dans un monde sans mélancolie, les rossignols se mettraient à roter", écrivait Cioran. Bel éloge de la voluptueuse passion triste. Preuve qu'il n'y a de véritable humour que rabat-joie.
vendredi 8 avril 2011
L'Ecclésiaste des Jardins du Luxembourg
Libellés :
aphorisme,
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nihilisme,
séduction
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C'est élégant.
RépondreSupprimerCher Frédéric,
RépondreSupprimerMerci pour ce petit clin d'oeil du 8 avril, qui va à l'essentiel, as usual...
Il n'y aurait donc pas d'autre alternative : mélancolie ou vulgarité ?
RépondreSupprimerEh oui, cher Calliclès ! Ou le supportère de foutebale, ou le penseur d'occasion.
RépondreSupprimer"Parfois, le foot-ball est beau" Daniel Leclerc, ex entraineur de Lens, cité en exergue de Les intellectuels, le peuple et le ballond rond de JC Michéa.
RépondreSupprimerIl est donc nécessaire que les mélancoliques restent un "petit nombre d'individus" qui "forment une confrérie secrète de la déréliction."
RépondreSupprimerUne Spleen Parade serait d'un vulguèèèèèèèèère !
Hélas, cher Jérôme, je ne suis pas un intellectuel. Je préfère au ballon rond les courbes de vos soldates de la section marxisme et lingerie.
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