« Il y a encore de nombreuses autres futilités qui ne dépendent pas directement du farniente et qui néanmoins ont une grande affinité avec lui et requièrent ce goût raffiné pour la vacuité. Parmi celles-là il me semble que le surf est une des principales, car il a une certaine ressemblance avec la promenade. Il est véritablement un plaisir de grand seigneur du loisir et il convient au gentilhomme balnéaire. On comprend donc pourquoi chez les anciens, le surf était fort en usage. »
Bart Castiglione
Le Livre du Courtisan balnéaire
Encore une image hallucinante (...malheureusement non référencée) !
RépondreSupprimerTout y est.
RépondreSupprimerCher Vincent, Cliquez.
RépondreSupprimerEffrayante cette illustration ! Donc efficace. Mais beurk quand même.
RépondreSupprimerCette illustration fabuleuse me rappelle le film que je viens de voir en pensant à vous, "Les Proies", de Don Siegel, avec Clint Eastwood. Mc Burney (tel est le nom du soldat nordiste qu'il incarne) devait rêver à quelque chose de semblable avant d'être amputé par une directrice jalouse, terriblement déçue de ne pouvoir retrouver avec lui les étreintes passionnés de son frère, et d'être finalement empoisonné par la fillette qui lui avait au début sauvé la vie et qui, ayant appris qu'il avait été retrouvé nu à côté d'une autre pensionnaire, nue elle aussi, lui avait dit en pleurant: "Je croyais que c'était moi que vous aimiez!"
RépondreSupprimerMc Tristan
Cher M.C. Tristan, voici ce que nous-mêmes avions publié il y a quelques mois http://lephilosophesansqualits.blogspot.com/2011/01/les-bonnes-femmes-4.html
RépondreSupprimerOui, cher O'Schiffter, je m'en souviens, et c'est grâce à vous que je suis allé le voir hier soir.
RépondreSupprimerUn chef-d'oeuvre.
Mc Tristan
On croirait une "promenade" en Hang Ten aux Alcyons.
RépondreSupprimerJe n'ai, hélas, jamais eu la chance d'y partager une session en compagnie de telles créatures.
Sans doute rejoignent-elles la surface au montant, lors des marées d'équinoxe...