C'est aussi le commentaire que je me faisais concernant la série d'émissions des N.C.C. de cette semaine. Et j'ai pris la même résolution. Me voici heureux de me trouver ainsi accompagné.
Chèilleme on me #2. Idem Stendhal, Zola, Maupassant : qu'est ce que j'ai bien ou faire au lycée, sinon regarder les filles (grande nouveauté, en seconde) ?
Des trois lus au lycée, cher Joël, j'ai préféré Maupassant. C'est par lui que je suis arrivé au Patron (c'est ainsi qu'il appelait Schopenhauer). Auteur cruel, plume tranchante. Quant à Flaubert, sa correspondance est un régal. Il s'y venge du style corseté auquel il s'attèle dans ses romans et nouvelles. Du sarcasme, du mépris, de la grossièreté, de la colère, et, aussi, de la tendresse et de l'amitié. Tout un regard sur la littérature et le monde. Et, toujours, sa hantise, sa phobie, son dégoût de la bêtise. Voilà, j'ai fait le prof. C'est malin. P.S.: Au lycée, je regardais les filles, itou, en levant le nez de "Bel-Ami". Mais, hélas, c'est ce qui s'appelait voir sans être vu...
Juste ce petit message pour vous dire que je suis enchantée de prendre connaissance de votre blog, d'autant que j'y suis arrivée fortuitement par le truchement d'un autre blog tenu par des gens plutôt vulgaires qui vous haïssent parce qu'ils jalousent votre manque de qualités.
Je vois de qui vous voulez parler. Ces gens me haïssent, en effet. Ce sont des infirmes du cœur, du goût et de l'intellect. Je vous recommande la lecture des trois volets de ma rubrique sur le RIQUIQUI ; vous aurez une sorte de portrait de ces petits haineux.
Mon chouchou du moment, c'est Henri James. Mais souvent femme (beau) varie ! Hello Joël ! Au lycée, je ne regardais pas grand-chose à vrai dire, je me souviens juste d'un ennui profond, un abîme d'ennui ! Et il n'y avait pas de garçon qui aurait pu m'en détourner, hélas. Cela arriva un peu plus tard, tout arrive, et un peu trop.. de garçons.
Tout comme l'hôte de ces lieux, j'ai fait la connaissance du Patron par l'intermédiaire de l’œuvre magnifique de Maupassant. Merci, cher Frédéric, de jeter dans mon jeune esprit les graines de l'envie d'aller voir la correspondance de Flaubert. C'est un manque que je vais m'empresser de combler.
Bonjour Frédéric, un pauvre type s'amuse à envoyer des messages en usurpant mon identité usage du jour. Avez- vous reçu des messages agressifs signés en mon nom ces derniers jours? Merci pour votre réponse. Vincent (usage du jour)
Nombre de rats de blogs, comme les appelle LWO, m'adressent des messages agressifs. Jusqu'à présent nul d'entre ces rongeurs édentés ne m'a montré ses gencives en usurpant votre nom. Mais je vais de ce pas placer un piège dans mon tableau de bord. Merci pour votre avertissement. Et bravo pour votre blog très chic.
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le reflux
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Exercices de lucidité
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
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L'ennui est ma passion.
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Contre les marchands de sagesse
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerVoilà donc "la plus glamour des figurantes", n'est-ce pas ?
Nous attendons désormais les aphorismes de Schiffter Junior.
Philosophe sans qualités, peut-être ; nihiliste balnéaire, sans doute. Mais magnifiquement accompagné.
RépondreSupprimerStirner
Longue vie à l'amour !
RépondreSupprimerEt à l'amitié, très chère Corinne.
RépondreSupprimerÀ propos, épatante, n'est-ce pas, la semaine des N.C.C. consacrée à Flaubert ? Du coup, hop, je reprends l'Education sentimentale.
Oui! moi je prends tout court.. à ma grande honte, jamais lu..
RépondreSupprimerC'est aussi le commentaire que je me faisais concernant la série d'émissions des N.C.C. de cette semaine. Et j'ai pris la même résolution.
RépondreSupprimerMe voici heureux de me trouver ainsi accompagné.
Chèilleme on you, Corinne !
RépondreSupprimerAh oui, cher Frédéric, mais d'avance je me réjouis du plaisir de la découverte en première communiante.
RépondreSupprimerUne épicurieuse. :-)
Frédéric Schiffter-Moreau ? Some psychological similarities ?...
RépondreSupprimer(sur ce, je vous laisse à Flaubert, je retourne à Precht "Qui suis-je et si je suis combien ?", il y a quelques petites choses pas mal ficelées)
Chèilleme on me #2.
RépondreSupprimerIdem Stendhal, Zola, Maupassant : qu'est ce que j'ai bien ou faire au lycée, sinon regarder les filles (grande nouveauté, en seconde) ?
Des trois lus au lycée, cher Joël, j'ai préféré Maupassant. C'est par lui que je suis arrivé au Patron (c'est ainsi qu'il appelait Schopenhauer). Auteur cruel, plume tranchante. Quant à Flaubert, sa correspondance est un régal. Il s'y venge du style corseté auquel il s'attèle dans ses romans et nouvelles. Du sarcasme, du mépris, de la grossièreté, de la colère, et, aussi, de la tendresse et de l'amitié. Tout un regard sur la littérature et le monde. Et, toujours, sa hantise, sa phobie, son dégoût de la bêtise. Voilà, j'ai fait le prof. C'est malin.
RépondreSupprimerP.S.: Au lycée, je regardais les filles, itou, en levant le nez de "Bel-Ami". Mais, hélas, c'est ce qui s'appelait voir sans être vu...
Bonjour,
RépondreSupprimerJuste ce petit message pour vous dire que je suis enchantée de prendre connaissance de votre blog, d'autant que j'y suis arrivée fortuitement par le truchement d'un autre blog tenu par des gens plutôt vulgaires qui vous haïssent parce qu'ils jalousent votre manque de qualités.
Aspasie
Bienvenue, Aspasie,
RépondreSupprimerJe vois de qui vous voulez parler. Ces gens me haïssent, en effet. Ce sont des infirmes du cœur, du goût et de l'intellect. Je vous recommande la lecture des trois volets de ma rubrique sur le RIQUIQUI ; vous aurez une sorte de portrait de ces petits haineux.
À bientôt, j'espère.
Mon chouchou du moment, c'est Henri James. Mais souvent femme (beau) varie !
RépondreSupprimerHello Joël ! Au lycée, je ne regardais pas grand-chose à vrai dire, je me souviens juste d'un ennui profond, un abîme d'ennui ! Et il n'y avait pas de garçon qui aurait pu m'en détourner, hélas. Cela arriva un peu plus tard, tout arrive, et un peu trop.. de garçons.
Tout comme l'hôte de ces lieux, j'ai fait la connaissance du Patron par l'intermédiaire de l’œuvre magnifique de Maupassant.
RépondreSupprimerMerci, cher Frédéric, de jeter dans mon jeune esprit les graines de l'envie d'aller voir la correspondance de Flaubert. C'est un manque que je vais m'empresser de combler.
Bonjour Frédéric,
RépondreSupprimerun pauvre type s'amuse à envoyer des messages en usurpant mon identité usage du jour. Avez- vous reçu des messages agressifs signés en mon nom ces derniers jours?
Merci pour votre réponse.
Vincent (usage du jour)
Cher Vincent,
RépondreSupprimerNombre de rats de blogs, comme les appelle LWO, m'adressent des messages agressifs. Jusqu'à présent nul d'entre ces rongeurs édentés ne m'a montré ses gencives en usurpant votre nom. Mais je vais de ce pas placer un piège dans mon tableau de bord. Merci pour votre avertissement. Et bravo pour votre blog très chic.
Oui, jeune Épicurien, lire la correspondance de Flaubert préserve du bovarysme et garantit de bonnes séances de rire. Prenez du bon temps.
RépondreSupprimerUn tiers d'amis, un tiers d'indifférents, un tiers d'hostiles. Notre lot à tous, cher Frédéric.
RépondreSupprimer"S'il vous reste quelques amis, c'est qu'il vous reste un peu d'argent ou de pouvoir..."
RépondreSupprimerJe fais la plaisante découverte de votre site, n'êtes vous point l'auteur du "blabla des philosophes"?
De mon côté, j'ai mes poésies ignorées qui le méritent peut être... ou pas !!
bien à vous !