En traînant, l'autre jour, du côté de la plage de la Madrague, je repensais à la configuration de ce lieu quand j'avais seize ans. J'y venais sur ma Honda rouge et blanche 125. Je garais la moto dans les pins, puis je marchais dans les dunes parsemées de chardons pour atteindre le sable. Il y avait peu de monde. Des surfeurs, des jolies. Pas de familles, pas de marmaille. Je ne suis pas sûr que le spot s'appelait La Madrague. Je n'ai plus ma japonaise, mais une italienne. Une Vespa. Toute indiquée pour faire le tour des plages désormais dotées de chiringuitos où on me sert un smoothie bien frais, la boisson de la dolce vita estivale.
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