En traînant à Hossegor, samedi matin, non loin du Sporting dont la bâtisse paraît défraîchie et la piscine abîmée, je songeais à ce que devait être la poésie de cette ville balnéaire avant la démocratisation des congés. Il eût fallu interroger les grands pins, témoins de cette époque. Puis, en marchant, je remarquais que le ru du canal qui alimente le lac allait dans la direction opposée à la mienne. L'Océan retirait ses eaux du bassin. Il les renverrait dans quelques heures. C'est son habitude quotidienne que d'aller et venir ainsi. Sa façon de traîner dans les terres, me suis-je dit...
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