Je viens juste de terminer "Jamais la même vague". Au début du roman, j'ai pensé à Houellebecq et Aurélien Bellanger, mais, en fait...c'est du Schiffter. Du Schiffter partout. Et vous avez réussi... j'ai le bourdon. Continuez dans la voie romanesque. Au plaisir de vous lire. Stéphane.
J’ai lu « Contre le peuple » (mon dieu) comme une digression dans le roman sans cesse médité du docteur FS. Ça m’a ragaillardi. Accessoirement et dans tous les sens j’aime le distanciel : bravo à l’animateur et aux techniciens.
Cher Frédéric Schiffter, Je viens d’écouter avec beaucoup d’intérêt cet entretien. Je n’ai pas encore lu votre « Contre le peuple », pour cause, je ne l’ai pas encore acheté. Je pense avoir compris votre propos, je le partage et je suis certain que la lecture de ce livre serait de la plus grande utilité pour les militants de la classe ouvrière. Ce serait votre contribution à la lutte des classes. Un certain nombre d’entre eux (je ne parle pas de ceux qui passent dans les média) ont perdu la vision claire d’où ils parlent et où se situent les lignes de fracture. Pire, certains retombent en enfance et sont frappés par le gauchisme. La classe ouvrière ce n’est effectivement pas le peuple et l’intérêt général ça n’existe pas. Nous n’avons qu’une vie, chacun défend ses intérêts, il ne peut pas en être autrement. Le reste c'est du blabla. Salutations amicales
Les citoyens ou le corps électoral nommé pompeusement le "peuple". Les "élites" qui croient être au-dessus de la mêlée. Et le mépris copieux des uns envers les autres. Exemple concret : Comme je sais que certains apprécient particulièrement le gamin qui a reçu de ses riches amis une panoplie de président et qui, aux dernières nouvelles, n’arrivait toujours pas à enfiler son pantalon à l’endroit, voici la campagne de vaccination qui commence. Bonne fin d’année et à la santé de Mauricette ! Nom de bleu, il a fallu qu’ils en trouvent une qui s’appelle Mauricette ! Ils ont dû envoyer leurs limiers en chasse avec mission d’en ramener une, affublée d’un prénom cocasse qui sent la naphtaline, symbolique des vieux des maisons de retraite. Oui, oui, le diable se cache toujours dans les détails et leur mépris n’a pas de limites.
Je suis frappé par la résonance actuelle de la Lettre XCVII de Claudius Selenius (p 52, Contre le peuple) traduite par vous : d'où, de que recueil l'avez-vous extraite ? Avec mon intention de la citer sur mon blog. Merci.
J'ai déniché cet extrait dans LE FORUM ROMAIN ET LA VERSION LATINE, un vieux manuel de latin, écrit sous la direction d'Henri Borneque, acheté jadis 1 franc rue du Taur à Toulouse...
Je me suis souvenu de la phrase fameuse : " il n'y a pas de société, il n'y a que des individus ". Comme vous le savez, elle est de Margaret Thatcher.J'ignore si vous vous félicitez de ce cousinage.
Il y a toujours une société, primitive, féodale, marchande... Il n'y a pas de peuple, seulement des catégories sociales ennemies. Pigé, Ducon l'inconnu?
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
Pas de publicité s.v.p.
Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
Le reflux
Pas de publicité, s.v.p.
Exercices de lucidité
Pas de publicité, s.v.p.
Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
PAS DE PUBLICITÉ S.V.P.
Pas de publicité, s.v.p.
L'ennui est ma passion.
Pas de publicité, s.v.p.
Contre les marchands de sagesse
Pas de publicité, s.v.p.
Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
Pas de publicité, s.v.p.
J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
Passionnant.
RépondreSupprimerFrédéric,
RépondreSupprimerJe viens juste de terminer "Jamais la même vague". Au début du roman, j'ai pensé à Houellebecq et Aurélien Bellanger, mais, en fait...c'est du Schiffter. Du Schiffter partout. Et vous avez réussi... j'ai le bourdon. Continuez dans la voie romanesque. Au plaisir de vous lire.
Stéphane.
J’ai lu « Contre le peuple » (mon dieu) comme une digression dans le roman sans cesse médité du docteur FS. Ça m’a ragaillardi.
RépondreSupprimerAccessoirement et dans tous les sens j’aime le distanciel : bravo à l’animateur et aux techniciens.
Cher Frédéric Schiffter,
RépondreSupprimerJe viens d’écouter avec beaucoup d’intérêt cet entretien. Je n’ai pas encore lu votre « Contre le peuple », pour cause, je ne l’ai pas encore acheté. Je pense avoir compris votre propos, je le partage et je suis certain que la lecture de ce livre serait de la plus grande utilité pour les militants de la classe ouvrière. Ce serait votre contribution à la lutte des classes. Un certain nombre d’entre eux (je ne parle pas de ceux qui passent dans les média) ont perdu la vision claire d’où ils parlent et où se situent les lignes de fracture. Pire, certains retombent en enfance et sont frappés par le gauchisme. La classe ouvrière ce n’est effectivement pas le peuple et l’intérêt général ça n’existe pas. Nous n’avons qu’une vie, chacun défend ses intérêts, il ne peut pas en être autrement. Le reste c'est du blabla.
Salutations amicales
Les citoyens ou le corps électoral nommé pompeusement le "peuple". Les "élites" qui croient être au-dessus de la mêlée. Et le mépris copieux des uns envers les autres.
RépondreSupprimerExemple concret : Comme je sais que certains apprécient particulièrement le gamin qui a reçu de ses riches amis une panoplie de président et qui, aux dernières nouvelles, n’arrivait toujours pas à enfiler son pantalon à l’endroit, voici la campagne de vaccination qui commence.
Bonne fin d’année et à la santé de Mauricette ! Nom de bleu, il a fallu qu’ils en trouvent une qui s’appelle Mauricette ! Ils ont dû envoyer leurs limiers en chasse avec mission d’en ramener une, affublée d’un prénom cocasse qui sent la naphtaline, symbolique des vieux des maisons de retraite. Oui, oui, le diable se cache toujours dans les détails et leur mépris n’a pas de limites.
Je suis frappé par la résonance actuelle de la Lettre XCVII de Claudius Selenius (p 52, Contre le peuple) traduite par vous : d'où, de que recueil l'avez-vous extraite ?
RépondreSupprimerAvec mon intention de la citer sur mon blog. Merci.
J'ai déniché cet extrait dans LE FORUM ROMAIN ET LA VERSION LATINE, un vieux manuel de latin, écrit sous la direction d'Henri Borneque, acheté jadis 1 franc rue du Taur à Toulouse...
RépondreSupprimerJe me suis souvenu de la phrase fameuse : " il n'y a pas de société, il n'y a que des individus ". Comme vous le savez, elle est de Margaret Thatcher.J'ignore si vous vous félicitez de ce cousinage.
RépondreSupprimerIl y a toujours une société, primitive, féodale, marchande... Il n'y a pas de peuple, seulement des catégories sociales ennemies. Pigé, Ducon l'inconnu?
Supprimer