samedi 4 juillet 2020

L'à-quoi-bonisme, philosophie indépassable de tous les temps


Chers visiteurs de notre page. Nous vous rappelons que notre édition de L’Ecclésiaste se trouve dans les bonnes librairies de France et, bien sûr, de Biarritz et de Bayonne. On peut aussi commander l'ouvrage directement chez Louise Bottu (clic). En cliquant sur CLAC, on lira la chronique que Roland Jaccard consacre à ce chef-d’œuvre d’à-quoi-bonisme.  

3 commentaires:

  1. Cher Fréderic, hier soir j'ai redécouvert ce très grand (et méconnu) film italien, "La Grande Bellezza". En écoutant les dernières paroles prononcées par Jep Gambardella, ce romancier qui n'écrit plus, j'ai immédiatement pensé à l'Ecclésiaste : « Ca se finit toujours comme ça, par la mort. Mais avant, il y a eu la vie, dissimulée sous du blablablabla... Tout est cristallisé sous les bavardages, et le bruit, le silence, et la sensibilité, l’émotion et la peur. Les timides et fugaces éclaircies de beauté, et enfin la tristesse disgracieuse, et l’homme misérable, engoncé dans l’embarras de vivre au sein de ce monde. Blablablablabla... Ailleurs, il y l’ailleurs, mais je ne m’intéresse pas à l’ailleurs. Alors, que ce roman connaisse un début. Au fond, ce n’est qu’un truc. ». Jep, personnage fictif, mon ami, mon double. Pierre L.

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  2. Quand le Marquis fait la sieste, il est très doué pour ça, d'ailleurs sa dernière dure une éternité, c'est un sportif !, je vous lis. Et puis, je vous relis. Il m'arrive même d'y revenir de temps en temps, à l'occasion. Certes, parce que je n'ai rein d'autre à faire, mais surtout par ce que rien d'autre ne me tente.

    https://youtu.be/H7wL7FThWQw

    Deux commentaires ce soir :)

    Amicalement,

    Maxime.

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  3. Cher Frédéric, connaissez-vous l'écrivain que j'adore Albert Cossery ? En lisant votre roman j'y ai trouvé des accents "Cossériens". Bonne vacance à vous.

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