Bientôt, les éditions Louise Bottu (clic) publieront Le Voluptueux inquiet — la réponse jusque-là introuvable que Ménécée écrivit à son maître et ami Épicure. Traduit du grec par mes soins, ce texte, découvert il y a quelques années par une équipe d’archéologues sur un site antique proche d'Ankara, exprime un scepticisme de bon aloi à l'égard de la médecine de l'âme — et de son "quadruple remède" — enseignée à l'école du Jardin. Il est évident que l’honnête homme n’y trouvera pas seulement un intérêt philosophique majeur, mais qu'il y goûtera aussi un vif plaisir de l’esprit.
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On peut remettre des bafouilles! Joie!
RépondreSupprimerL'homme voluptueux ne rechigne pas à cultiver la quadruple racine de ginseng dans son jardin, surtout lorsqu'il est inquiet.
RépondreSupprimerLa mort, nous dit-il, est une chose épouvantable pour un être à peu près vivant, même si celui-ci n'est pas complètement idiot et se doute bien qu'il n'y pensera plus une fois passé de vie à trépas.
Chèvre Natalie était voluptueuse et la voilà morte.
Je suis inquiet.
Oreilles à vous, très cher cousin.