En traînant aux Sables d'or, ce matin, j'ai eu l'agréable surprise de n'y croiser personne. J'avais l'impression de revivre les heures du confinement, quand mes concitoyens s'emprisonnaient chez eux pour éviter, croyaient-ils, de mourir. Là, j'ai pensé que c'était la défaite de l'équipe de France qui avait poussé les gens à un suicide de masse. Mais, hélas, vers 14 h, des badauds sont arrivés flanqués de leur marmaille bien vivante. Il y a en moi un reste d'optimisme dont je ne me débarrasserai jamais.
Vous savez avec 8 milliards d'humains sur terre c'est difficile de trouver un coin tranquille. En 2100 nous serons 10 milliards. C'est fou cette envie de se reproduire...Sonia de Genève
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