En traînant au-dessus de la Chambre d'amour, tout à l'heure, je songeais à ce propos entendu moult fois à la radio ces jours-ci, propos selon quoi le football «offre des moments uniques d’émotions partagées par le plus grand nombre». Je me suis souvenu aussi que pour le philosophe Jean-Claude Michéa le «mépris du football était le signe d’une véritable infirmité intellectuelle!» Eh bien, ai-je pensé, si les médias donnent raison à un doctrinaire orwellien, me voilà bon pour une thérapie comportementale. Mais je crains que mon cas soit désespéré pour tout programme de rééducation de mes affects et de mon intellect. Je suis né amputé de la glande pinéale du supportère.
Ma tranquillité est sauve...ils ont perdu.
RépondreSupprimerPour l'instant. Quel malheur que ce pays qui devient un pays du tiers-monde.