«Toi
aussi quitte à la première occasion le vacarme, l’affairement dans le vide, ton
boulot sans aucun intérêt, et consacre-toi au repos studieux. Comme le dit avec
finesse ce cher Atilius: mieux vaut être oisif que de s’agiter à ne rien
faire !».
Pline Le Jeune
«L'âme cultivée, c'est celle où le vacarme des vivants n'étouffe pas la musique des morts.»
RépondreSupprimerN.G.D
Merci, cher Kevin Lefrançois, pour ce petit hommage à l'élégant réactionnaire colombien.
RépondreSupprimerDe l'otium à la sprezzatura, juste un (petit) degré. Nonchalamment fidèle. Au fait, excellent votre papier dans le dernier Philo Mag. Continuez, ma non troppo 😉
RépondreSupprimerToujours caresser d'accortes soubrettes et de plantureuses naïades avant de se consacrer au repos studieux, disait le rhinocéros à son cher Pline Le Jeune.
RépondreSupprimerCette photo fait prendre conscience d'une grande vertu (ou du vice...) du nihiliste balneaire. Celle d'être libre, à juste titre, de remettre à plus tard ,voire indefiniment, son suicide. Pierre L.
RépondreSupprimerCher Pierre,
RépondreSupprimerVous noterez toutefois qu'il n'est pas aisé pour un nihiliste balnéaire de lire tranquillement à la plage — même ses propres livres.
Cher Frédéric,
RépondreSupprimerCertains ont été pendus par le pied pour moins que ça…
Très amicalement,
Virginie