Depuis longtemps, je tiens de Barbey d'Aurevilly que la politesse consiste en une tolérance de pure façade, qu'elle est le meilleur bâton de longueur entre soi et un sot, un bâton qui vous épargne même la peine de frapper.
Alfonso a dit... Ça alors! C'est exactement cet extrait du Plafond que j'ai lu hier soir à Stanko venu se requinquer chez Vasquez. Exactement le bas de la page 124.
Et s'il m'arrive bien souvent de porter des lunettes de soleil alors que le ciel est gris, c'est pour leur éviter de croiser mon regard assassin.
RépondreSupprimerMais ne serait-ce point là un paparazzi prêt à rompre l'isolement du philosophe ?
RépondreSupprimerTrès bonne remarque de vous, Schiffter, et du marquis de l'Orée, qui me rappelle les dernières lignes de "L'Age d'homme" de Michel Leiris :
RépondreSupprimer"J'explique à mon amie comment il est nécessaire de construire un mur autour de soi, à l'aide du vêtement."
Sur la poignée de la porte : Ne pas déranger.
RépondreSupprimerDepuis longtemps, je tiens de Barbey d'Aurevilly que la politesse consiste en une tolérance de pure façade, qu'elle est le meilleur bâton de longueur entre soi et un sot, un bâton qui vous épargne même la peine de frapper.
RépondreSupprimerAlfonso a dit...
Ça alors!
C'est exactement cet extrait du Plafond que j'ai lu hier soir à Stanko venu se requinquer chez Vasquez.
Exactement le bas de la page 124.
Elle est partie ?
RépondreSupprimer