Ce qui manque peut-être à ce garçon, c'est la ruse, qui consiste, par exemple, à trouver une approche, un prétexte, pour établir le contact, le dialogue, puis ensuite, la "tchatche", avec le ton, l'assurance, les formules, bref, tout ce qui entre dans ce qu'on appelle communément le jeu de la séduction, mais vous savez sans doute tout ça mieux que moi...
En fait, il n'y a de civilisation que sur les rivages. Dès qu'on s'enfonce dans les terres, passions mauvaises. La Grèce est née sur une plage, tout de même. Et les ennuis commencent avec des religions venues du fond du désert.
Eh ben... dans l'ordre: - rien à dire ni sur la démarche, la tactique, ni sur la claque qui claque. (à part un éclat de rire peu retenu); - pas tout à fait d'accord avec votre Michel national, je veux dire avec cette idée de retour à l'âge des transitions via les échecs dans la séduction. Y retournerait-il pour mieux (ap)prendre un autre chemin avec soi-même (ET avec les autres, ces autres étant des ELLES) ou bien pour s'y terrer sous les blessures de son orgueil?! Ou bien...?! - cet air, d'idiote-de-la-plage-délectations-moroses-en-main, m'allait à ravir il y a quelques temps. [ :) ]
L'est quand même pas futé, le garçon !
RépondreSupprimerIl se serait allongé à côté en lisant "Délectations moroses", il aurait suscité une toute autre réaction.
;-)
Certainement. On l'aurait pris pour l'idiot de la plage.
RépondreSupprimerCe qui manque peut-être à ce garçon, c'est la ruse, qui consiste, par exemple, à trouver une approche, un prétexte, pour établir le contact, le dialogue, puis ensuite, la "tchatche", avec le ton, l'assurance, les formules, bref, tout ce qui entre dans ce qu'on appelle communément le jeu de la séduction, mais vous savez sans doute tout ça mieux que moi...
RépondreSupprimerEn fait, il n'y a de civilisation que sur les rivages. Dès qu'on s'enfonce dans les terres, passions mauvaises. La Grèce est née sur une plage, tout de même. Et les ennuis commencent avec des religions venues du fond du désert.
RépondreSupprimerEh ben... dans l'ordre:
RépondreSupprimer- rien à dire ni sur la démarche, la tactique, ni sur la claque qui claque. (à part un éclat de rire peu retenu);
- pas tout à fait d'accord avec votre Michel national, je veux dire avec cette idée de retour à l'âge des transitions via les échecs dans la séduction. Y retournerait-il pour mieux (ap)prendre un autre chemin avec soi-même (ET avec les autres, ces autres étant des ELLES) ou bien pour s'y terrer sous les blessures de son orgueil?! Ou bien...?!
- cet air, d'idiote-de-la-plage-délectations-moroses-en-main, m'allait à ravir il y a quelques temps. [ :) ]
Bonsoir.
Une ravissante idiote, j'en suis sûr — et qui a de bien peu recommandables lectures.
RépondreSupprimerMais, au fait, quelle plage ?
Disons que la plage compte moins que la page; en été, toute plage est semblable à une autre, plus ou moins, même se trouvant dans des points opposés.
RépondreSupprimerEt cette idée de... "Où-est-le-bec"?! Elle va dans quel sens?!
Joli titre pour votre billet! Marcuse doit être content là où il se trouve.
Quant à mes lectures... je les aime telles quelles.
Merci, Monsieur!
D'autres lectures de plage ? Un conseil, peut-être...
RépondreSupprimerNon, c'est de vous que j'attends un conseil de lecture. Je note...
RépondreSupprimerJ'avais bien compris, mais... je fais très mauvaise "conseillère en lectures de plage".
RépondreSupprimer(Qoui que... L'ITINERAIRE D'UNE VIE, paru chez MICHALON, devrait bien se lire en tout lieu.)
Bonjour.
Kouik ?
RépondreSupprimer:)
RépondreSupprimerLa prochaine fois, je demanderai à Gainsbourg de corriger mon "qoui que"!