En tant que lecteur régulier de votre blog (dont une majorité toutefois conséquente de mes "amis littéraires" décrie l'existence - sans même avoir lu un minimum votre travail relié en volume - Contre le peuple est tout simplement le pamphlet français le plus jubilatoire de ces mornes années 2020 en cours - donc c'est un comble ! ; ou bien encore le fait que vous ne validiez pas systématiquement mes commentaires selon votre goût ou votre humeur de l'instant, et ce qui me fait toujours réfléchir pour améliorer positivement mon aptitude au langage), je me félicite de découvrir ce pan intime de votre biographie que vous nous délivrez là. Vos parents avaient une classe indéniable, de cette qualité si authentique et rare de nos jours que l'on nomme pourtant depuis des siècles : la "prestance" ; les photos parlent pour elles. Il C'est encore mieux appréciable de cerner ainsi plus précisément les racines gentilhommes de votre biographie.
Actuellement amant platonique d'une grande dame septuagénaire de la haute-société industrielle du XX° siècle, je ne peux que vous faire part de toute l'inspiration humaine (et pas "humaniste" puisque surtout sincèrement empathique) que vous contribuez à nourrir également en ma personne. Je vous remercie de nous partager tout cela, cher Frédéric.
On a aimé picorer les définitions toxiques ici ou là
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Le dandy ou l'aplomb de la légèreté (Préface)
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Le reflux
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Exercices de lucidité
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Le drame des types dans mon genre qui ne veulent pour rien au monde être pris au sérieux est justement qu'on exauce leur vœu.
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EN LIBRAIRIE LE 28 AOÛT 2013 Livre apprécié d'une lady-dandy stylée.
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L'ennui est ma passion.
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Contre les marchands de sagesse
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Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Telles sont, selon Kant, les quatre questions essentielles de la philosophie. Je me les suis posées. À chacune, j'ai répondu : rien. Mais sans doute ne suis-je pas ce qu'on appelle un "philosophe".
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J'aurai réussi une œuvre quand mon nom servira à désigner une pathologie mentale.
En tant que lecteur régulier de votre blog (dont une majorité toutefois conséquente de mes "amis littéraires" décrie l'existence - sans même avoir lu un minimum votre travail relié en volume - Contre le peuple est tout simplement le pamphlet français le plus jubilatoire de ces mornes années 2020 en cours - donc c'est un comble ! ; ou bien encore le fait que vous ne validiez pas systématiquement mes commentaires selon votre goût ou votre humeur de l'instant, et ce qui me fait toujours réfléchir pour améliorer positivement mon aptitude au langage), je me félicite de découvrir ce pan intime de votre biographie que vous nous délivrez là. Vos parents avaient une classe indéniable, de cette qualité si authentique et rare de nos jours que l'on nomme pourtant depuis des siècles : la "prestance" ; les photos parlent pour elles. Il C'est encore mieux appréciable de cerner ainsi plus précisément les racines gentilhommes de votre biographie.
RépondreSupprimerActuellement amant platonique d'une grande dame septuagénaire de la haute-société industrielle du XX° siècle, je ne peux que vous faire part de toute l'inspiration humaine (et pas "humaniste" puisque surtout sincèrement empathique) que vous contribuez à nourrir également en ma personne. Je vous remercie de nous partager tout cela, cher Frédéric.
Bien à vous et bel fin d'été pour nous tous.
Pierre, 44 ans. ;-)