Dans la toute dernière édition de la revue de Frédéric Pajak, vous ne trouverez que de bons textes, avec de belles illustrations de dessinateurs et de peintres. Ma modeste contribution s'intitule: Orwell contre la littérature. J'y rappelle que l'auteur de 1984 plaçait la politique plus haut que l'art littéraire, considérait que les écrivains devaient être des propagandistes de gauche, plagiait sans vergogne Zamiatine, Connolly, Koestler, haïssait Swift — qu'il aurait bien enfermé dans un asile pour avoir écrit une œuvre d'un humour désespéré et désespérant: Les Voyages de Gulliver.
Orwell contre la littérature est la préface du recueil de textes paru aux éditions Louise Bottu: De l’écriture politique comme un art.
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