Je suis persuadé que le monsieur à côté de la Schiffterina mange du chimpanzé. Et ce n'est pas bien de manger du chimpanzé à côté d'une femme blonde. A côté d'une femme blonde, on mange éventuellement du bonobo. Mais jamais de chimpanzé.
Je me suis toujours demandé : il a une Rossettina (ou un Rossettino), le philosophe de la joie de vivre tragique ou il préfère vivre seul son allégresse ?
C'est un peu indiscret, je sais, mais important me semble-t-il pour comprendre comment se concrétise une philosophie.
Il me semble que Rosset évoque dans un de ses livres non auto-fictifs le plaisir du branle et ne le distingue pas fondamentalement du plaisir sexuel partagé. On peut aussi remarquer que le branle se concrétise de différentes façons, en secret ou bien en couple (et, probablement, aussi à plusieurs).
C'est vrai, on l'oublie mais, les philosophes aussi ont un ventre (et un bas-ventre)...
RépondreSupprimerJe suis persuadé que le monsieur à côté de la Schiffterina mange du chimpanzé. Et ce n'est pas bien de manger du chimpanzé à côté d'une femme blonde. A côté d'une femme blonde, on mange éventuellement du bonobo. Mais jamais de chimpanzé.
RépondreSupprimerJe me suis toujours demandé : il a une Rossettina (ou un Rossettino), le philosophe de la joie de vivre tragique ou il préfère vivre seul son allégresse ?
RépondreSupprimerC'est un peu indiscret, je sais, mais important me semble-t-il pour comprendre comment se concrétise une philosophie.
Il me semble que Rosset évoque dans un de ses livres non auto-fictifs le plaisir du branle et ne le distingue pas fondamentalement du plaisir sexuel partagé. On peut aussi remarquer que le branle se concrétise de différentes façons, en secret ou bien en couple (et, probablement, aussi à plusieurs).
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