oui, pour qui se laisse aller à croire que nietzsche en soit sorti un jour^^ l'essentiel de nietzsche est dans zarathoustra, et l'essentiel de zarathoustra se situe dans une des lignes de la dernière page (en gros, comment faire le tour des impasses), le reste est pur verbiage. remarquez, il existe des amateurs^^
c'est très juste, ami anonyme; mais aussi, il est vrai qu'on ne peut lire sans savoir écrire: il se trouve qu'écrire, c'est comme parler, il vaut mieux avoir des échantillons sur soi; comprend cela celui qui voit qu'écrire ne consiste pas à tracer des signes abscons sur une feuille,un écran ou sur le sable; en fait, chacun ne sait lire que ce qu'il est capable d'écrire, c'est là que réside toute la différence entre Qais et Majnun....ou entre l'adoration stérile et la pratique fructueuse. n'oubliez pas ce dernier point, l'ami, toute lecture est polysémique.
Adler a dit que c'était un pur plaisir que de lire Nietzsche à 18 ans. Par contre il n'a rien dit sur les vieux qui ignoraient que tout avis était une intolérance sur la diversité.
Voilà ce que l'on devient quand on n'aime qu'une seule femme.
RépondreSupprimeroui, pour qui se laisse aller à croire que nietzsche en soit sorti un jour^^
RépondreSupprimerl'essentiel de nietzsche est dans zarathoustra, et l'essentiel de zarathoustra se situe dans une des lignes de la dernière page (en gros, comment faire le tour des impasses), le reste est pur verbiage. remarquez, il existe des amateurs^^
GrimacesMC
RépondreSupprimerCe qui est bien avec Internet, c'est qu'on peut écrite sans savoir lire.
Oui c'est bien ... mais cette intervention a déjà le record 2011.
c'est très juste, ami anonyme; mais aussi, il est vrai qu'on ne peut lire sans savoir écrire: il se trouve qu'écrire, c'est comme parler, il vaut mieux avoir des échantillons sur soi; comprend cela celui qui voit qu'écrire ne consiste pas à tracer des signes abscons sur une feuille,un écran ou sur le sable; en fait, chacun ne sait lire que ce qu'il est capable d'écrire, c'est là que réside toute la différence entre Qais et Majnun....ou entre l'adoration stérile et la pratique fructueuse.
RépondreSupprimern'oubliez pas ce dernier point, l'ami, toute lecture est polysémique.
Adler a dit que c'était un pur plaisir que de lire Nietzsche à 18 ans. Par contre il n'a rien dit sur les vieux qui ignoraient que tout avis était une intolérance sur la diversité.
RépondreSupprimerEst ce la peine que je me tape les podcasts de Raphael Enthoven à propos de Nietzsche ?
RépondreSupprimerR.E. est toujours intéressant à écouter, cher Sébastien.
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