samedi 27 novembre 2010

Il giorno della Schiffterina




"Aimer une femme, c'est ne pas admettre la possibilité d'un monde où elle serait absente".


José Ortega y Gasset

7 commentaires:

  1. Point d'illustration, mais une illumination !

    Bien à vous

    Philippe Chauché

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  2. Cher Frédéric,

    Quelle déclaration !
    Elle en a bien de la chance votre douce !
    Si Dieu existe qu'il vous bénisse tous les deux !
    Je ne suis pas niaise, on ne peut pas être ridicule lorsqu'on est foncièrement sincère, même si mon commentaire ressemble aux "bonnes" paroles des vieilles gitanes !
    Vous n'avez certainement pas l'habitude de ce genre de commentaire car ici plane une ambiance de têtes bien pensantes, mais si vous parlez également de tout ce qui a attrait à l'affecte, alors, nous sommes incontestablement faits pour nous entendre.

    Bien à vous.

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  3. Jérome Leroy28 novembre, 2010

    Communisme balnéaire, vous voyez, cher Frédéric, vous y venez. Badiou, qui ne doit pas être votre tasse de thé, remarque dans l'hypothèse communiste que le couple pourrait bien être un exemple de fonctionnement réellement communiste.
    Mes respects du soir à la Schiffterina, comme on disait à Coëtquidan.

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  4. Vos respects transmis à la Schiffterina, cher Jérôme.

    Quant à Badiou — ridiculement attaqué par un godelureau fielleux dans Philosophie magazine de ce mois — je doute que son communisme soit de tendance sexy et balnéaire. Vous le voyez en maillot de bain ?

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  5. Mais pourquoi diable à chaque apparition de votre belle, la mention "irrémédiable séparation" ? Imaginer le pire afin de ne pas être pris de court au cas où ? Vivre chaque jour comme le dernier pour vivre plus intensément ?

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