Si Roland feignait d'être indifférent aux témoignages d'admiration — il ne trompait personne —, il se montrait en revanche sensible aux manifestations d'amitié. Cette revue réunit les unes et les autres. Le texte d'André Comte-Sponville est le plus juste, le plus complet, le plus touchant.
On se procurera l'ouvrage à la librairie L'Écume des pages, Bd Saint-Germain Paris 06
L'âme est un.vaste pays
RépondreSupprimerS'en saisir tout de suite ! Rien que pour retrouver l’œil brillant, moqueur - " Quoi ? Vous n'avez pas une table de ping-pong ?" - , l'inévitable sourire qui suivait, et les prémices - du moins je m'en flatte... - d'une forme de complicité intellectuelle... Merci Frédéric !
RépondreSupprimerParti svelte en bonne santé, un dernier sourire à l'entourage (dont son ami de longue date André); l'ultime élégance, jusqu'au bout. Emotion.
RépondreSupprimerGrand merci pour l'information. Commande faite. Bien regrettable : pas d'article signé Gabriel Matzneff...
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