Un jésuite argentin qui fait une belle carrière au Vatican vous aurait gratifié, cher Frédéric, d'un "Qui suis-je donc pour juger ?" qui aurait eu l'avantage, pour lui, de clôturer tout débat. Remarque toute théorique dans la mesure où il ne semble pas avoir de femme... Pour ma part, j'avoue humblement que j'ignorais qu'il fallait juger avant de condamner - sa femme, s'entend...
Pourquoi n'avoir qu'une seule femme, alors qu'en laissant la porte ouverte il peut en entrer quelques-unes - désœuvrées ou curieuses -, de temps à autre ?
Un jésuite argentin qui fait une belle carrière au Vatican vous aurait gratifié, cher Frédéric, d'un "Qui suis-je donc pour juger ?" qui aurait eu l'avantage, pour lui, de clôturer tout débat.
RépondreSupprimerRemarque toute théorique dans la mesure où il ne semble pas avoir de femme...
Pour ma part, j'avoue humblement que j'ignorais qu'il fallait juger avant de condamner - sa femme, s'entend...
Pourquoi n'avoir qu'une seule femme, alors qu'en laissant la porte ouverte il peut en entrer quelques-unes - désœuvrées ou curieuses -, de temps à autre ?
RépondreSupprimerSeuls les hommes bons sont en droit de juger les bonnes femmes.
RépondreSupprimerEt nous sommes si rares...
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