Patrick Mosconi porte en lui un monde d'ombres lumineuses, colorées, éclatantes. Il les transpose sur la toile. Le regard est captivé, charmé. Effrayé, aussi. Car ces formes semblent traduire des tourments, des obsessions, des ruminations. Mosconi lâche la bride à ses démons intimes et ils ont de la gueule!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires anonymes et fielleux seront censurés.
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.