Espagne, juillet 2019
mercredi 27 novembre 2019
lundi 25 novembre 2019
Corneau Patrick, l'envieux
J’ai bien conscience que personne ne connaît Patrick Corneau. Pourquoi le connaîtrait-on? Quand il s’essaye à la littérature, ses productions passent inaperçues tant elles sont insipides. D’abord, Corneau a voulu m’imiter (clic). Ce fut raté. Je le lui ai dit et il l’a mal pris. Ensuite il a cherché à cultiver un genre qu’il croyait plus accessible, à savoir la prose d’un Denis Grozdanovitch — du type «philosophe à sa fenêtre». Là aussi ce fut raté. Corneau rate tout, même ses photographies. Alors il se venge des auteurs de qualité qu’il envie en allant sur Amazon déposer de petites fientes en guise d’avis de lecture à propos de leurs livres. Il m’a fait le coup pour l’un des miens. Et, là, il s’en prend à Iñaki Uriarte. Non seulement Bâiller devant Dieu (clac) représente pour Corneau l’exemple même d’une excellence dont il est incapable, mais de voir que j’ai préfacé le bouquin l’a mis en rage. C’est donc pour le punir que je l’attache à nouveau au piquet des brêles.
dimanche 24 novembre 2019
mercredi 20 novembre 2019
Venez donc à ma conférence du samedi 23 novembre consacrée à Jean-Paul Sartre à la médiathèque de Biarritz. C'est à 11h
Présentation:
Le Jean-Paul Sartre auteur de La Nausée ou de L’Être et le Néant fut-il le même que celui qui écrivit Critique de la Raison dialectique? Le philosophe existentialiste schopenhauerien d’avant-guerre aurait-il salué l’intellectuel marxiste des années d’après-guerre? Celui qui publia Les Mots pouvait-il prôner la littérature engagée? Jean-Paul Sartre fut sans doute l’écrivain français du XXe siècle le plus paradoxal à redécouvrir ou à découvrir.
dimanche 17 novembre 2019
Rendez-vous le 19 novembre, 19h30
Le mardi 19 novembre, à 19h30, à l'invitation du Café philosophique de Biarritz, je serai au bar et fronton Plaza Berri (42, avenue du Maréchal Foch) pour commenter Le Voluptueux inquiet (Éditions Louise Bottu) et en débattre avec l'assistance.
Présentation:
Dans sa Lettre à Ménécée, Épicure affirme que si on observe les principes de son éthique — ne pas craindre les dieux ni la mort, ne satisfaire que ses besoins naturels et nécessaires, adopter une conduite prudente dans un monde hasardeux — l’ataraxie, ou la sérénité, ou le bonheur, est accessible. Dans sa réponse à Épicure, Ménécée s’interroge sur la réelle efficacité de cette «médecine de l’âme». La sagesse ne serait-elle pas l’asile de l’illusion?
Le Voluptueux inquiet, réponse à Épicure, est en vente au BOOKSTORE et à la Maison de La Presse de Biarritz. L’auteur (Frédéric Schiffter-Ménécée) aura le plaisir de dédicacer l’ouvrage à l’issue de cette rencontre.