Bientôt, les éditions Louise Bottu (clic) publieront Le Voluptueux inquiet — la réponse jusque-là introuvable que Ménécée écrivit à son maître et ami Épicure. Traduit du grec par mes soins, ce texte, découvert il y a quelques années par une équipe d’archéologues sur un site antique proche d'Ankara, exprime un scepticisme de bon aloi à l'égard de la médecine de l'âme — et de son "quadruple remède" — enseignée à l'école du Jardin. Il est évident que l’honnête homme n’y trouvera pas seulement un intérêt philosophique majeur, mais qu'il y goûtera aussi un vif plaisir de l’esprit.