Bonjour, cher Frédèric. Je reconnais Mélenchon, Pascal Salin "brillant économiste" et 25 décembre Mamère mais pas les 2 autres. Pouvez-vous éclairer ma lanterne comme dirait Diogène ? Bonne fin d'année à vous. Cordialement Chuck.
Les journaux désignent le petit barbu comme étant "le directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon". Mais personne ne connaît son nom. Le señorito s'est distingué en s'indignant contre Patrick Besson.
L'homme au double menton souligné discrètement par un nœud papillon jaune canari, façon Séraphin Lampion, est un neuroscientiste qui s'appelle Jean-Didier Vincent. Quantité des gens le trouvent truculent. Ils sont bien les seuls.
Ah, Frédéric, moi je l'apprécie, Jean-Didier. Son histoire de "processus opposants" me fait penser à lao-tseu. On entre dans ses livres comme dans un laboratoire de chimie des années soixante: surpris, amusé, et puis quelques frissons apparaissent. Il dissèque joyeusement, mais il lit dans les entrailles alors qu'il est préférable de gratter la chèvre vivante entre les cornes, selon moi. "Mon Maître à penser est Henri Laborit", a-t-il dit un jour. Très drôle également. La science est d'une gaieté totale. "La chimie, c'est l'avenir", avait déclaré Gaston Lagaffe.
Moi, Marquis, j'ai un faible pour Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas de Champignac. Son "métamol", quelle trouvaille! Mais, Zorglub, son vieil ennemi intime, ne manque pas d'allure. Eviv Bulgroz !
Votre conférence d'hier après-midi à bord du End of a melancholy affair sur le thème du señoritisme a été brillante. Peu importe que le thème originel était le lorgnonisme : vous avez carte blanche pour toutes les digressions. Quoiqu'il en soit il n'en va pas de même pour le soi-disant poète qui vous accompagnez. Ce Hugo de l'Etreintegnas ou quelque chose comme ça a eu un comportement inadmissible !
Bonjour, cher Frédèric.
RépondreSupprimerJe reconnais Mélenchon, Pascal Salin "brillant économiste" et 25 décembre Mamère mais pas les 2 autres. Pouvez-vous éclairer ma lanterne comme dirait Diogène ?
Bonne fin d'année à vous. Cordialement Chuck.
Bonjour Chuck,
RépondreSupprimerLes journaux désignent le petit barbu comme étant "le directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon". Mais personne ne connaît son nom. Le señorito s'est distingué en s'indignant contre Patrick Besson.
L'homme au double menton souligné discrètement par un nœud papillon jaune canari, façon Séraphin Lampion, est un neuroscientiste qui s'appelle Jean-Didier Vincent. Quantité des gens le trouvent truculent. Ils sont bien les seuls.
Bien à vous,
F.S.
Ah, Frédéric, moi je l'apprécie, Jean-Didier. Son histoire de "processus opposants" me fait penser à lao-tseu. On entre dans ses livres comme dans un laboratoire de chimie des années soixante: surpris, amusé, et puis quelques frissons apparaissent. Il dissèque joyeusement, mais il lit dans les entrailles alors qu'il est préférable de gratter la chèvre vivante entre les cornes, selon moi. "Mon Maître à penser est Henri Laborit", a-t-il dit un jour. Très drôle également. La science est d'une gaieté totale. "La chimie, c'est l'avenir", avait déclaré Gaston Lagaffe.
RépondreSupprimerMoi, Marquis, j'ai un faible pour Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas de Champignac. Son "métamol", quelle trouvaille! Mais, Zorglub, son vieil ennemi intime, ne manque pas d'allure. Eviv Bulgroz !
RépondreSupprimerJuste ! J'avais oublié Eviv Bulgroz inscrit sur la lune. Ca, de la Pâte Feuilletée, ça c'était une idée.
RépondreSupprimerCher Doctor S.,
RépondreSupprimerVotre conférence d'hier après-midi à bord du End of a melancholy affair sur le thème du señoritisme a été brillante. Peu importe que le thème originel était le lorgnonisme : vous avez carte blanche pour toutes les digressions.
Quoiqu'il en soit il n'en va pas de même pour le soi-disant poète qui vous accompagnez.
Ce Hugo de l'Etreintegnas ou quelque chose comme ça a eu un comportement inadmissible !
Vasquez